Jérôme Lambert (homme politique)

homme politique français

Jérôme Lambert, né le à Vincennes (Val-de-Marne), est un homme politique français, député rattaché au Parti socialiste.

Jérôme Lambert
Illustration.
Fonctions
Député français

(25 ans et 9 jours)
Élection 1er juin 1997
Réélection 16 juin 2002
17 juin 2007
10 juin 2012
18 juin 2017
Circonscription 3e de la Charente
Législature XIe, XIIe, XIIIe, XIVe et XVe (Cinquième République)
Groupe politique SOC (1997-2007)
SRC (2007-2014)
RRDP (2014-2017)
NG (2017-2018)
SOC (2018-2022)
Prédécesseur Henri de Richemont
Successeur Caroline Colombier

(4 ans, 9 mois et 9 jours)
Élection 12 juin 1988
Circonscription 3e de la Charente
Législature IXe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Henri de Richemont

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Charente
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Biographie
Date de naissance (67 ans)
Lieu de naissance Vincennes (France)
Nationalité Française
Parti politique PS[1] puis MDC
Père Paul Lambert
Mère Brigitte Landry
Diplômé de Université Panthéon-Sorbonne
Profession Cadre de l'industrie

Plus jeune parlementaire de France lors de sa première élection en 1986 à l'âge de 28 ans, il occupe le siège de député de la Charente jusqu'en 1993, puis sans discontinuer depuis 1997, ensuite réélu à quatre reprises jusqu'en 2022.

Biographie

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Origines familiales et vie personnelle

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Jérôme Lambert fait partie de la famille Mitterrand, étant petit-neveu de l'ancien président de la République française François Mitterrand et du général Jacques Mitterrand. Sa mère, Brigitte Landry, épouse Lambert, est la fille de Colette Mitterrand épouse Landry (1914-2004), sœur aînée de François Mitterrand, et donc cousine germaine de Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture. Colette Landry, grand-mère de Jérôme Lambert, reste propriétaire de la maison familiale de Jarnac jusqu'à son décès ; la propriété est ensuite rachetée par la ville de Jarnac en 2005, puis cédée à l'Institut François-Mitterrand en 2011[2].

Jérôme Lambert signale avoir adhéré au Parti socialiste à l'âge de 15 ans, ce qui aurait suscité le scepticisme de son grand-oncle alors premier secrétaire du Parti. Il indique avoir été à la fois influencé par le futur Président, qu'il a notamment fréquenté lors des congés familiaux à Hossegor, et en désaccord avec lui[3]. Il décrit son parent comme un « grand homme » s'étant laissé « griser par le pouvoir »[4].

Animateur du Mouvement motard, dès 1977, porte-parole du Comité de lutte des motards de la Bastille, il participe à la création de la Fédération française des motards en colère (FFMC), en 1979, dont il fut le premier directeur des publications[5].

Formation

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Il suit ses études secondaires à Angoulême (collège privé Saint-Paul puis lycée Guez-de-Balzac[6]), puis au lycée Balzac de Paris[7]. Diplômé de l'université Panthéon-Sorbonne en maitrise de droit des affaires, il a suivi des études de science politique à Paris. Il est également diplômé de l'Institut des Hautes Études de la Sécurité Intérieure (11e session), diplômé du Centre des Hautes Études de l'Armement (37e session) et de l'Institut des hautes études de Défense nationale (58e session).

Carrière politique

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Débuts

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Adhérent de la Jeunesse étudiante chrétienne, dès l'âge de 13 ans[7], il adhère au Parti socialiste en 1972, à l'âge de 15 ans. Il est membre du Secrétariat national des Jeunesses socialistes. Il affirme dans sa jeunesse avoir « [cassé] la gueule aux fachos » en compagnie de ses « copains d'extrême-gauche »[7]. En 1976, il est permanent du Comité pour l'organisation du syndicat des étudiants de France, créé par le Parti socialiste pour contrebalancer l'UNEF, jugée trop marxiste par la direction du parti[5].

Son engagement électoral commence en 1983 avec son élection au conseil municipal de Jarnac, ville natale de François Mitterrand. Deux ans plus tard, il est candidat aux élections cantonales, mais est battu par le maire UDF de Jarnac[6].

Député de la Charente

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Il est élu député, benjamin de l'Assemblée Nationale, le au scrutin proportionnel départemental, puis en 1988, 1997, 2002, 2007, 2012 et 2017 dans la troisième circonscription de la Charente. Membre du groupe socialiste, il siège au sein du groupe RRDP (Radicaux républicains démocrates et progressistes) à compter de mars 2014 après avoir démissionné du groupe SRC (socialiste). En 2017, il rejoint à nouveau le groupe socialiste. Son secrétariat parlementaire se trouve à Juillé.

À l'Assemblée, il est rapporteur budgétaire de la commission des Lois (1990-1993 puis 1997-2002) pour les départements d'outre-mer, puis pour l'Administration Générale et Territoriale de l'État (2007-2012). Il est également rapporteur du budget « action extérieure de l'État » à la commission des Finances (2012-2014) et vice-président de la commission des Affaires européennes (2010-2017). Membre de la commission des Affaires étrangères et de la commission des Affaires européennes, il est aussi membre de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale, il crée et préside à compter de 2007 le groupe d’études des réservistes citoyens de l'Assemblée nationale.

En 2014, il décide de quitter le groupe socialiste de l'assemblée et rejoint les radicaux[8]. Après sa réélection en 2017, il rejoint à nouveau le groupe socialiste. En , sur 400 scrutins publics qui se sont déroulés à l'Assemblée, il est le député du groupe qui a le moins souvent voté en accord avec le groupe LREM[9].

Juste après les révélations liées à l'affaire Fillon, la Charente Libre révèle que le travail de son épouse et assistante parlementaire est introuvable[10].

Justifiant ses prises de position parfois divergentes de son groupe parlementaire, il déclare en 2017 refuser de « se cantonner dans un rôle de député presse-bouton, comme 80 % des parlementaires », estimant que cette prise d'autonomie demande « un certain temps »[11]. Sur la mandature 2012-2017, il précise alors avoir approuvé une centaine des 150 textes de la majorité, pour 35 abstentions et une quinzaine d'oppositions[11]. Il qualifie le PS de « parti d'apparatchik », tout en reconnaissant ne pas savoir où aller d'autre[3].

Aux élections législatives de 2022, il est investi par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale[12]. Du fait de prises de position antérieures de l'intéressé, cette désignation suscite la désapprobation de militants LGBT[12],[13], de La France insoumise et d'Europe Écologie Les Verts[14]. Sandrine Rousseau, écologiste également candidate de l'union, oppose un « Not in my name » à cette investiture[15]. Il n'est finalement pas investi par le PS[16]. Plusieurs élus et candidats de gauche font partie des 600 signataires d’une tribune publiée début mai par Têtu contre son investiture pour un huitième mandat dans le cadre de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale[17]. Obtenant 17,92 % des suffrages, il est battu dès le premier tour[18].

En juin 2024, il sollicite une investiture au titre de l'union de la gauche pour les élections législatives anticipées[19]. Celle-ci échoit toutefois à la maire PS de Chirac, Virginie Lebraud[20].

Autres activités politiques

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Permanent du Parti socialiste, à partir de 1977, il fut délégué général du Parti socialiste, responsable des Fédérations et du Contentieux, puis des Élections, jusqu'en 1997, à ce titre il a été le collaborateur de nombreux dirigeants socialistes, dont Louis Mermaz, Paul Quilès, Marcel Debarge, Bertrand Delanoë, Daniel Vaillant et Jean-Pierre Bayle[5].

Fin 2002, il est co-signataire d'un appel de dix députés PS à « dépasser les vieux clivages » au sein du parti, en soutien à Arnaud Montebourg[21],[22].

Il a été vice-président du Mouvement européen-France, en 2010, aux côtés de Christian Philip.

Prises de position et controverses

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Exil fiscal de Gérard Depardieu

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En , il demande la confiscation des biens de Gérard Depardieu à la suite de la décision de celui-ci de quitter la France pour la Belgique pour ne pas avoir à payer « 85 % d'impôts ». Sa réaction déclenche une forte polémique[23],[24].

Mariage pour tous

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Déclarant avoir voté « des deux mains » la loi instituant le Pacte civil de solidarité[3], Jérôme Lambert se démarque en en exprimant son opposition au projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe et annonce qu'il votera contre ce projet. S'il fait état d'un accord avec l'idée du mariage et de l'adoption, il défend le principe d'une filiation ne découlant que d'un seul des deux parents[3].

Il déclare alors que « Ce n'est pas l'élection du président de la République qui fait la loi, c'est l'Assemblée nationale. Quand j'entends dire que les Français ont tranché le 6 mai, je dis non. Avoir voté comme moi pour François Hollande ne signifie pas forcément être d'accord avec toutes les propositions du candidat. Parmi ses soixante propositions, trois ou quatre me dérangeaient, en particulier celle du « mariage pour tous ». [...] Dans mon environnement charentais, cela fait des mois que je parle de mes doutes sur cette reforme. Quand je m'adresse à des gens de gauche, plus de 80 % comprennent les raisons pour lesquelles je redoute les conséquences du « mariage homosexuel » ; 99 % des commentaires que je reçois par mail ou par courrier me sont favorables ! [...] Je n'admets pas dans ce projet de loi son impact sur la filiation : je refuse de donner à des enfants une double filiation paternelle ou une double filiation maternelle. Je crois que la loi peut corriger les erreurs ou les excès de la nature, sinon ce serait la loi de la jungle. Mais la loi ne peut pas changer la nature d'un homme et d'une femme. »[25]. Le , il fait partie des 4 députés du groupe socialiste ayant voté contre le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe[26].

Il soutient la Manif pour tous en 2013 et 2014[27], expliquant notamment que « la filiation, c'est mâle et femelle »[12], et s'oppose à la réforme des rythmes scolaires. Prenant acte de ces divergences, il quitte le groupe PS pour le groupe des radicaux en .

Positions favorables au régime syrien

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En 2015, il participe à un voyage privé en Syrie aux côtés de deux autres parlementaires de gauche, Gérard Bapt et Christian Hutin, et le député UMP Jacques Myard. Estimant que Daech est « l'ennemi commun » de la Syrie et de la France, il motive ce déplacement par la nécessité de « [se] rendre compte par [lui-même] de la situation ». Cette initiative est cependant désavouée par le ministère des Affaires étrangères et par le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, car les relations diplomatiques avec le régime syrien sont en effet coupées depuis les crimes commis à l'encontre des civils au printemps 2011, d'autant que les élus « ne cachent pas leur soutien au régime de Bachar el-Assad ». Pendant leur séjour, les élus rencontrent notamment Bachar el-Assad et le Grand Mufti Ahmed Badreddin Hassoun[28],[29],[30].

Liens avec la Russie

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En 2016, il accompagne en Crimée des députés de droite, dont Thierry Mariani, lequel venait d'appeler la France à reconnaître l'annexion russe de la péninsule. Jérôme Lambert déclare alors que les habitants de la Crimée « sont manifestement heureux d’avoir pu rejoindre la Russie »[31]. Ce déplacement fait suite à un premier voyage l'année précédente, qui avait suscité le mécontentement de plusieurs élus[32].

Jérôme Lambert participe également à des missions en tant qu'« observateur », d'abord de l'élection présidentielle russe de 2018 en compagnie de députés RN[33], également désignés « observateurs internationaux », puis du scrutin législatif organisé en Crimée par la Russie en septembre 2021, toujours aux côtés de personnalités d'extrême-droite[34],[35].

Il rejette cependant toute sympathie pour le gouvernement de Vladimir Poutine : « Je pense que Poutine est un autocrate, quelqu’un qui dirige de manière très autoritaire son pays, avec information très contrôlée. C'est parce qu'il exerce une pression incroyable sur l'information qu'il est réélu. Mais pour le savoir, il faut aller sur place, lire les journaux ça ne suffit pas »[36].

Réseau d'influence de l'Azerbaïdjan

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Jérôme Lambert est président de l'Association des amis de l'Azerbaïdjan, un groupe faisant partie de la stratégie d'influence de l'Azerbaïdjan en France. Après la guerre du Haut-Karabagh en septembre 2023 qui mène à la dissolution de la république autoproclamée du Haut-Karabagh et au déplacement forcé de sa population, il affirme que « Les Arméniens de l'enclave ont choisi de partir après leur défaite. Ils pouvaient rester, ils n'auraient pas été persécutés. ». Il fait aussi la promotion de l'Azerbaïdjan et de sa capitale, Bakou, qui serait « une ville modèle pour le monde musulman » et se félicite des progrès démocratiques supposés du pays[37].

Occupation d'un logement social

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En mai 2022, Mediapart révèle qu'il réside depuis 25 ans dans un logement à loyer intermédiaire du parc social Paris Habitat de 95 m2 pour lequel il paye un loyer de 971  par mois alors que le loyer pour un tel logement avoisinerait au minimum les 2 300  mensuels dans le privé, selon le site d'investigation. Ce logement a été attribué à sa compagne en 1997 et lorsqu'il s'est déclaré co-occupant, il n'a pas signalé ses revenus[38]. Paris Habitat lui demande de quitter le logement[39]. Le logement est libéré le pour laisser place à un nouveau locataire[40].

Autres dossiers

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En 2004, il vote la loi sur les signes religieux à l'école, comme son groupe, après avoir fait état de son scepticisme[7].

En 2005, il s'oppose au traité établissant une Constitution pour l'Europe, et soutient le « non » au référendum de mai[3].

Le , il est le seul député du groupe groupe Socialiste, républicain et citoyen à s'abstenir sur le projet de loi sur la transparence de la vie publique, aucun membre du groupe ne votant contre[41].

Anciens mandats

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De à , il est membre du Conseil municipal de Jarnac (Charente).

Il est élu député pour un premier mandat en , puis enchaîne les mandats depuis l'année 1997. A l'été 2017, il est réélu député de la 3e circonscription de la Charente face à la candidate LREM Madeleine Ngombet[42],[43], ancienne vice-présidente socialiste du Conseil régional de Poitou-Charentes. Il devient alors le détenteur du record d'ancienneté à l'Assemblée[11],[44].

Aux élections législatives de 2022, il finit quatrième du premier tour derrière les candidates RN, LREM, NUPES et termine ainsi son mandat de député.

Articles connexes

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Références

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  1. https://www.sudouest.fr/2017/06/09/a-l-assaut-de-l-inamovible-3515260-813.amp.html
  2. Ville de Jarnac, « La ville de François Mitterrand », sur Ville de Jarnac (consulté le ).
  3. a b c d et e Caroline Vigoureux, « Neveu de Mitterrand et socialiste insoumis », sur Le JDD, (consulté le ).
  4. Caroline Cordier, « M. Montebourg  : "Tout assumer" de l'héritage de M. Mitterrand », sur Le Monde, (consulté le ).
  5. a b et c « Les benjamins », sur Le Monde, (consulté le ).
  6. a et b Portrait télévisé de Jérôme Lambert, 13 décembre 1985, FR3 Poitou-Charentes.
  7. a b c et d Jean-Baptiste de Montvalon, « Le petit-neveu de François Mitterrand votera "la mort dans l'âme" », sur Le Monde, (consulté le ).
  8. « Jérôme Lambert quitte le groupe PS à l'Assemblée et rejoint les radicaux », Le Monde, 11 mars 2014
  9. Wedodata, « La gauche, contre Macron ou tout contre ? », sur Les Jours, (consulté le ).
  10. Ismaël Karroum, « Recrutements familiaux des parlementaires: le cas de l'épouse de Jérôme Lambert interpelle », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  11. a b et c Bertrand Ruiz, « Confolens (16) : Lambert, député le plus expérimenté de France », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  12. a b et c « La Nupes investit Jérôme Lambert, anti-PMA soutien de LMPT », sur tetu.com (consulté le ).
  13. « L'homophobie n'est ni populaire, ni sociale, ni négociable », sur tetu.com (consulté le ).
  14. « Législatives : Jérôme Lambert répond aux Insoumis et aux écologistes », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  15. « Législatives et Union Populaire : Sandrine Rousseau flingue le député charentais Jérôme Lambert », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  16. « Législatives : le PS renonce à la candidature de Jérôme Lambert », sur tetu.com (consulté le ).
  17. « L'homophobie n'est ni populaire, ni sociale, ni négociable », sur tetu.com (consulté le ).
  18. « Les archives des élections en France », sur www.archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  19. Ismaël Karroum, « Législatives en Charente : Lambert « exaspère » ses amis en sollicitant une investiture, Bouty s'engagera mais ne se présentera pas », Charente Libre, (consulté le ).
  20. Ismaël Karroum, « Législatives en Charente : voici les noms des trois candidats Front Populaire en Charente », Charente Libre, (consulté le ).
  21. Hervé Gattegno, « Montebourg, Dray et Peillon, le trio de contestataires qui rêve désormais de devenir majoritaire », sur Le Monde, (consulté le ).
  22. « PS :dix députés socialistes appellent à « dépasser les vieux clivages » », sur Le Monde, (consulté le ).
  23. « Un député charentais allume Gérard Depardieu sur Facebook », Sud-Ouest, 18 décembre 2012
  24. « Depardieu : le député socialiste Jérôme Lambert appelle à confisquer les biens de l'acteur », Contrepoints, 18 décembre 2012
  25. Jérôme Lambert, « Pour une liberté de conscience », Famille Chrétienne, no 1827 du 19 janvier 2013, p. 18
  26. « Les députés adoptent le projet de loi sur le mariage pour tous », Libération, 12 février 2013
  27. « Le député PS Jérôme Lambert apporte son soutien à la Manif pour tous », lelab.europe1.fr, 30 janvier 2014
  28. AFP, « Selon Lambert, la France a un "ennemi commun" avec Bachar el-Assad », sur Le Point, (consulté le ).
  29. Bernard Dussol, « Le voyage controversé du député charentais Jérôme Lambert en Syrie », sur France 3, (consulté le ).
  30. « Syrie : quatre élus français ont rencontré Bachar Al-Assad à Damas », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. « Jérôme Lambert en Crimée avec les élus de droite », sur Charente Libre, (consulté le ).
  32. AFP, « Le voyage bucolique de parlementaires français en "Crimée russe" », sur France 24, (consulté le ).
  33. Renaud Lecadre, Emmanuel Fansten, « Thierry Mariani, très amical observateur des élections à l’étranger », sur Libération, (consulté le ).
  34. Pascal Lefebvre, « Législatives en Russie : le député Lambert "observe" le vote en Crimée et suscite un vif émoi », sur Charente Libre, (consulté le ).
  35. Anton Shekhovtsov, « De faux observateurs internationaux pour de fausses élections parlementaires : comment des députés français aident à légitimer les élections russes », sur Desk Russie, (consulté le ).
  36. Lou Fritel, « Législatives en Charente : le candidat qui hérisse Insoumis et EELV, malgré le soutien de la Nupes », sur marianne.net, .
  37. « Comment l’Azerbaïdjan a tenté de s’acheter des amis en France », sur Le Point, (consulté le )
  38. David Perrotin, « Le député de Charente Jérôme Lambert logé chez un bailleur social à Paris », sur Mediapart (consulté le ).
  39. « Le député Jérôme Lambert vit, depuis 25 ans, dans un 95 m2 avec un loyer de 971 euros...Paris Habitat lui demande de rendre son logement », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « Paris : le HLM de 90 m2 de l’ex-député Jérôme Lambert remis sur le marché », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  41. Analyse du scrutin no 536, deuxième séance du 25/06/2013, sur le site de l'Assemblée nationale
  42. Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  43. Législatives en Charente : Jérôme Lambert conserve la troisième circonscription, Sud Ouest, 18 juin 2017
  44. « Jérôme Lambert député jusqu’en 2050 ? », sur Charente Libre, (consulté le ).

Liens externes

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