Iviers

commune française du département de l'Aisne

Iviers est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Iviers
Iviers
La mairie.
Blason de Iviers
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Vervins
Intercommunalité CC des Trois Rivières
Maire
Mandat
Laurent Demonceaux
2023-2026
Code postal 02360
Code commune 02388
Démographie
Population
municipale
220 hab. (2021 en évolution de −1,35 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 04″ nord, 4° 08′ 37″ est
Altitude 210 m
Min. 172 m
Max. 250 m
Superficie 7,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Hirson
Législatives 3e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Iviers
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Iviers
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Iviers
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Iviers

Géographie

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Localisation

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Iviers est un village rural de la Thiérache dans le nord de l'Aisne, proche du département des Ardennes, situé à 16 km à vol d'oiseau au sud d'Hirson, 42 km à l'ouest de Charleville-Mézières, 33 km au nord-ouest de Rethel, 60 km au nord de Reims et 62 km à l'est de Saint-Quentin.

Le sentier de grande randonnée GR 122 passe au hameau de Cormeaux.

La commune se trouve dans la zone d'emploi de Laon et le bassin de vie d'Hirson[I 1]

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Aubenton, Beaumé, Besmont, Brunehamel, Coingt, Cuiry-lès-Iviers et Dohis.

  Besmont Beaumé  
Coingt N Brunehamel
O    Iviers    E
S
Cuiry-lès-Iviers Dohis

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,45 km2 ; son altitude varie de 172 à 250 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

Le territoire de la commune est traversé d'est en ouest par le ruisseau La Blonde qui prend sa source à Brunehamel et qui va se jeter dans la Brune à Saint-Clément. Au XIXe siècle, ce ruisseau alimentait le moulin à blé d'Iviers et celui du hameau de Corneaux[2].

C'est donc un sous-affluent du fleuve la Seine par l'Oise, la Serre et le Vilpion.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Goujon, la rivière Blonde[3] et le cours d'eau 05 de la commune de Iviers[4],[5],[Carte 1].

Le Goujon, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Aubenton et se jette dans le Ton à Martigny, après avoir traversé cinq communes[6].

 
Réseau hydrographique d'Iviers[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 962 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Vervins à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

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Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
 
Carte topographique de la commune.

Typologie

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Au , Iviers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,9 %), terres arables (24,6 %), zones urbanisées (9,9 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[16].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Corneaux et le Bois des Nuées sont des hameaux de la commune.

 
Maison à Corneaux.

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 125, alors qu'il était de 120 en 2015 et de 123 en 2010[I 3].

Parmi ces logements, 78,4 % étaient des résidences principales, 18,4 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants. Ces logements étaient tous des maisons individuelles[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Iviers en 2020 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,4 %) supérieure à celle du département (3,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Iviers en 2020.
Typologie Iviers[I 4] Aisne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 78,4 86,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 18,4 3,4 9,7
Logements vacants (en %) 3,2 10,1 8,2

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Yviers en 1161 ; Yvier en 1568 (archives de la ville de Laon) ; Yviers en Thiérasse, Ivier en Tiérace, Ivier, Yviers ; Iviez au XVIIIe siècle (carte de Cassini) ; Iviers' au XVIIIe siècle[2].

Origine incertaine. Au XIIe siècle une iverie était un haras, de l'ancien français ive « jument », issu du latin equa, féminin de equus « cheval ». Peut-être d'un nom de personne germanique Ib-hari[17] pris absolument ou encore variante d'évier au sens ancien d'« égout pour l'écoulement des eaux usées » ou « petit canal », issu du latin vulgaire aquarium selon une suggestion de Marie-Thérèse Morlet[17].

Histoire

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Moyen Âge

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La terre d'Iviers est donnée en 1126, à l'abbaye de Cuissy, avec Iverol, par Wiard de Hétry et sa femme Béatrix, sœur de Goswin, châtelain de Pierre-Pont. Elle passe ensuite à l'abbaye de Montreuil-les-Dames, qui la posséde encore au moment de la Révolution.[réf. nécessaire]

Temps modernes

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Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Iviers, qui s'écrivait Yviez était une paroisse située sur la rive droite du ruisseau La Blonde Ce ruisseau alimentait deux moulins à eau.

Les hameaux de Corneaux et Haurieux existent encore de nos jours.

Au sud, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque.

Le village était alors beaucoup plus peuplé qu'aujourd'hui (600 habitants contre 225 en 2019).

Sur les registres paroissiaux de la commune des années 1669 et 1670 sont notés les professiosns suivantes des hommes: manouvrier (16 fois), tisserand (6), laboureur (6), berger (2), cloutier (2), taillandier (2), puis marchand, armurier, forestier, bourrelier et sergent des bois.

Iviers est un village de l'ancienne Thiérache, situé dans une plaine élevée et accidentée, à 50 kilomètres au nord de la ville de Laon et 20 kilomètres au sud-est de la petite ville de Vervins, autrefois de l'intendance de la ville de Soissons, des bailliage, élection et diocèse de Laon, aujourd'hui du canton d'Aubenton, arrondissement de Vervins, diocèse de Soissons[18].

Époque contemporaine

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Dans la nuit du 27 au , en pleine retraite française, le colonel Philippe Pétain qui occupe le presbytère du village, reçoit une notification du Grand Quartier général l'informant de sa nomination au grade de général de brigade. Deux jours plus tard, il reçoit le commandement de la 6e division d'infanterie puis se retire avec ses troupes au-delà de l'Aisne pour en interdire le passage à l'envahisseur[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aubenton[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Hirson[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Aisnedepuis le dernier découpage électoral de 2010[19].

Intercommunalité

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Iviers est membre de la communauté de communes des Trois Rivières[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790   Jean-Baptiste Valtier    
1791   Philippe Guiot    
1792 1794 Jacques-Joseph Caron    
1795 1798 Jean-Baptiste Valtier    
An VI An XI Jean-Baptiste Picard    
An XI 1806 Pierre Guerbet    
1806 1813 Jean-Baptiste Picard    
1813 1819 Jean-Nicolas Thiébault    
1819 1830 Pierre Dez    
1830 1836 Jean Cheyer    
1836 1838 Jean-Baptiste Legros    
1836 1842 Félix Thiébault    
1842 1843 Joseph Legros   Conseiller municipal faisant fonction de maire
1843 1847 Étienne Marie Joseph Prudhomme    
1848 1853 Pierre-Louis Huet    
1855 1860 Désiré François Joseph Doré    
1860 1871 Pierre-Louis Huet    
1871 1874 Jean-Nicolas Jacquet    
1874 1884 Théodore Chappelard    
1884 1885 Paul-Charles Codos    
1885 1896 Alphonse Lerouge    
1896   Isidore Maupetit    
         
mars 2001[21] avril 2014 Gérard Manteau PS  
6 avril 2014[22] août 2023[23] Guy Wauthier SE Retraité de l'enseignement
Démissionnaire
août 2023[24] En cours
(au 30 novembre 2023)
Laurent Demonceaux   Professeur ou profession scientifique

Équipements et services publics

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 220 habitants[Note 2], en évolution de −1,35 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8031 0109359551 0621 1401 1401 1161 075
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0041 0081 018961942898872752719
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
700608599513449420372319310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
285265228210195172168168210
2015 2020 2021 - - - - - -
223221220------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Sainte-Marie-Madeleine, comprenat des parties du XIIIe siècle, du XVIIe siècle et du XIXe siècle[28].
  • Vestiges de la Chapelle Saint-Joseph à Corneaux, de 1869[29].
  • Maison de maître de la fin du XIXe siècle, 9 rue Paul-Codos[30].
  • Maison de notaire, 11 rue Paul-Codos, de la fin du XIXe siècle[31].
  • Ancien presbytère, 17 rue Paul-Codos, de 1868[32].
  • Ferme du XIXe siècle au Bois des Nuées[33].
  • Fosse commune de 24 soldats de la guerre 1914-1918.
  • Monument aux morts.
  • Monument à la mémoire de Paul Codos.
  • Croix de chemin de 1882 et 1909 donnée par Peuchrin-Lefèvre, rue Paul-Codos[34].

Personnalités liées à la commune

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Arrivée de Codos et Rossi au Bourget (4 juillet 1934).
  • Paul Codos, aviateur (1896-1960), y est né.
    Typographe à La gazette de la Thiérache en 1913, il s'engage en 1914 comme volontaire dans l'artillerie, et passe ensuite dans l'aviation, au mois de .
    En 1926, il fait une série de vols de nuit, et, en 1929, avec Costes, il bat le record du monde de distance.
    Il bat avec Rossi le record international de distance en ligne brisée, entre New York et Rayak, du 5 au , soit 9 106 kilomètres en cinquante-cinq heures et vingt-neuf minutes. Ce nouveau record lui valut d'être reçu en grande pompe à Hirson le où sa mère et sa sœur Thérèse résidaient.
    Il finit comme inspecteur général d'Air France, en l'année 1938, qu'il quitte en 1950. Il prit sa retraite en 1958, après 7 000 heures de vol.
    La rue principale de la commune porte son nom.

Héraldique

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  Blason
Écartelé : au 1er de gueules à la tête de cheval coupée d'argent, au 2e d'azur à deux fasces ondées d'or, au 3e d'azur à l'aéroplane d'or posé en pal, au 4e de gueules au vase à parfum d'argent[35].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Henry-Fernand Carpentier, Monographie de la commune d'Iviers, canton d'Aubenton, arrondissement de Vervins (Aisne), Rethel, G. Beauvarlet, , 164 p. (lire en ligne), ,sur Gallica.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Iviers » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d « Commune d'Iviers », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Iviers - Section LOG T1 » (consulté le ).
  4. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Iviers - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Aisne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Auguste Matton, Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p.144.
  3. Sandre, « la rivière Blonde »
  4. Sandre, « le cours d'eau 05 de la commune de Iviers »
  5. « Fiche communale d'Iviers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  6. Sandre, « le Goujon »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Iviers et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 363b.
  18. Henry-Fernand Carpentier, Monographie de la commune d'Iviers, ouvrage mentionné en Bibliographie, p. 9.
  19. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  20. Henry-Fernand Carpentier, Monographie de la commune d'Iviers, ouvrage mentionné en Bibliographie, p. 17-18.
  21. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  22. « Succédant à Gérard Manteau, qui ne s'était pas représenté, Guy Wauthier est le nouveau maire d'Iviers », Le Courrier La Gazette, no 2340,‎ 10/41/2014, p. 36 (ISSN 0183-8415)
  23. « Guy Wauthier, son adieu empli de dignité. », sur jjthomas.canalblog.com, (consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Eglise paroissiale et cimetière Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA02000485, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Chapelle Saint-Joseph (vestiges) », notice no IA02000486, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Maison », notice no IA02000488, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Maison de notaire », notice no IA02000630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Ancien presbytère », notice no IA02000487, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Ferme », notice no IA02000549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Croix de chemin », notice no IA02000775, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Iviers », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).