Gy (Haute-Saône)
Gy est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Gy | |||||
La mairie | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | CC des Monts de Gy (siège) |
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Maire Mandat |
Christelle Clement 2020-2026 |
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Code postal | 70700 | ||||
Code commune | 70282 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gylois et Gyloises | ||||
Population municipale |
1 001 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 24′ 25″ nord, 5° 48′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 198 m Max. 380 m |
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Superficie | 24,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Besançon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marnay | ||||
Législatives | 1re circonscription de la Haute-Saône | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | Https://www.mairie-gy.fr | ||||
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Ses habitants sont appelés Gylois et Gyloises.
Elle bénéficie du label Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
modifierDescription
modifierCommunes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 310 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), terres arables (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), zones urbanisées (3,5 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierGy appartient à toute une série de noms de lieux résultant de l'évolution du type toponymique gallo-romain Gaiacum[13]. Il se compose du nom de personne latin Gaius[13] (porté par un habitant autochtone gallo-romain) suivi du suffixe gallo-romain d'origine celtique (gaulois) -acum[13] désignant un lieu, puis une propriété.
Homonymie avec les nombreux Gy, Geay, Gée, Gehée, Giey de langue d’oïl ou franco-provençale et avec les Gageac, Gajac, etc. de langue d'oc.
Histoire
modifierL'occupation (au sens archéologique du terme) de Gy est attestée depuis la période gallo-romaine, en raison de la découverte des substructions d’une villa gallo-romaine à proximité de l'actuelle place de la République.
En 1093, le comte de Bourgogne, Renaud, vend à son frère Hugues, archevêque de Besançon ses terres du pays gyssois.
À partir du XIIe siècle se développe entre le château et l'église Saint-Symphorien une ville haute, qu'on appelle bourg dès 1246. On y atteste des fortifications en 1273 et des halles en 1286. Celles-ci sont centrales, entre la porte du bourg et la porte sainte. Il faut attendre le XIVe siècle, en revanche, pour que l'extension urbaine parvienne en contrebas[14].
En 1250, l'archevêque de Besançon Guillaume II de la Tour[15] y fait construire « une forte tour ».
En 1259, Jean Ier de Chalon du comté de Bourgogne entre en conflit contre l'archevêque de Besançon Guillaume II de la Tour. Ainsi le château de Gy est assiégé par Thibaud III de Rougemont, Gérard, Richard et Thiébaud II de Neuchâtel, fils de Thiébaud Ier de Neuchâtel-Bourgogne, Guillaume et Pierre d'Arguel[16], Othon de la Roche, Etienne et Othon de Montmarin et autres seigneurs et après quelque résistance, le château fut pris et détruit de fond en comble[17]. L'archevêque excommunia les perturbateurs qui fut confirmé par le pape Alexandre IV. Un arrangement fut négocié par le paiement d'une rente de 5 bichots[18],[19] de froment à prendre sur les moulins de Vuillecin afin de lever l’excommunication[20].
En 1380, une querelle concernant les droits de battre monnaie entre le duc de Bourgogne, Philippe II de Bourgogne, et l’archevêque de Besançon, Guillaume de Vergy, s’est envenimée. Le prélat suivi par son chapitre interdit Auxonne de battre monnaie, refuse au duc l’hommage de plusieurs de leurs seigneuries et excommunie le gardien de la Comté et le bailli d’Amont, fidèle au duc. En réponse, le duc de Bourgogne rase les forteresses épiscopales de Noroy, Étalans et Mandeure et poursuit l’archevêque jusqu’à son château de Gy, qu’il assiège. L’archevêque parvient à s’enfuir du château par un souterrain, dit-on, et trouver refuge à Avignon d’où il excommunie le Comté de Bourgogne[21].
En 1477 pendant la guerre de Succession de Bourgogne, Gy sert de Quartier-général à l'armée comtoise commandé Jean de Chalon-Arlay, Prince d'Orange. La ville est menacée par les troupes françaises qui s'en détourneront pour affronter les comtois à la bataille du pont d'Emagny. La garnison germanique qui défendait la ville par crainte d'être ensuite attaquée, abandonne la ville et la pille[22].
A la renaissance, Gy est décrit dans l'ouvrage "Description de la Franche-Comté" de 1552: "Son territoire jouit d'une fécondité incomparable, car il produit un vin qui le dispute en vertu et en bonté avec celui de Besançon. On le transporte en Allemagne, non pas pour le vendre en public, mais pour orner la table des grands. François Busleiden, archevêque de Besançon, a construit ses hautes tours et son admirable château".
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle était, depuis 1793,le chef-lieu du canton de Gy[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Marnay.
Intercommunalité
modifierGy est le siège de la communauté de communes des Monts de Gy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPolitique de développement durable
modifierLa commune s'est dotée, à l'initiative de l'ancien maire Lucien Chance, d'une chaufferie automatique à bois avec réseau de chaleur, qui alimente, depuis l'automne 2014 le collège et le gymnase, puis, à terme, le futur pôle scolaire et de l’accueil périscolaire[31].
Distinctions et labels
modifierDe par son histoire et son patrimoine, Gy fait partie de l'association des Cités de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2021, la commune comptait 1 001 habitants[Note 3], en évolution de −8,08 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sport
modifier- AC Gy, club de football féminin.
- HBC Des Monts de Gy, club de handball féminin et masculin.
- Gy est le point central de l'espace VTT des monts de Gy.
- Judo Club Gylois[35], club de judo Ju-jitsu et self défense affilié Fédération française de judo et disciplines associées.
- Club bouliste : la « Pétanque Gyloise » créé en 1981 sous l’impulsion de Pierre Balland. En 2018, le club compte 133 licenciés dont 67 Hommes, 21 Femmes et 45 jeunes. Chez les adultes, la compétition demeure une priorité. Une défaite au 7e tour de la coupe de France en 2018 a néanmoins constitué un record pour le club. Le club monte en puissance depuis quelques années[Quand ?] notamment avec le recrutement de joueurs de haut niveau comme Bal Erol (qui a participé au championnat du monde avec la sélection marocaine) ou encore Julien Schandelmeier venu de Colmar.
Le club de pétanque dispose d’un terrain découvert d’environ 50m² utilisable n’importe quand pendant la semaine et ouvert à tous. Un local est mis à la disposition des licenciés du club. C’est un lieu de loisirs pendant la semaine et un lieu d’entraînement en vue des compétitions qui ont lieu chaque week-end.
En 2012 et à destination des jeunes générations, une école de pétanque a été fondée par Nicolas Monnier le président et David Faivre, Vice-président du club et président de la commission des jeunes : 10 équipes ont participé au championnat de France.
Économie
modifierEn 2018, la commune dispose des professionnels suivants : 2 restaurants, 2 cafés, 1 boucherie, 2 boulangeries-pâtisseries, 1 hôtel, 3 Salons de coiffure, 2 instituts de beauté, 1 boutique de vêtement pour femme, 1 boutique d’article de décoration, 1 artisan-traiteur, 1 pharmacie, 1 bureau de tabac, 1 hypermarché, 1 bureau de poste, 1 centre des finances publiques, 1 office de tourisme, 1 cinéma (2 projections par mois), 1 agence immobilière, 1 auto-école, 1 agence bancaire, 1 société d’assurance, 1 concession automobile, 8 médecins, 2 infirmières, 3 kinésithérapeutes, 1 ostéophate, 1 orthodontiste, 2 dentistes, 1 centre de première intervention (CPI SDIS70), 1 entreprise funéraire, 1 carrière, 3 entreprises de peinture, 1 carrossier, 1 menuisier-ébéniste, 1 société européenne spécialisée dans les fermetures de garage et rideaux métalliques pour les professionnels et particuliers (siège social Gy), 1 société de maçonnerie, 1 société de paysagisme, 1 société spécialisée dans la vente de matériel agricole, une société de plomberie,1 société de motoculture, 1 société de transport de voyageurs et/ou de personnels par autocar, 1 société de charpente/couverture, 1 société d’électricité, 1 entreprise de terrassement et TP, 1 imprimerie, 1 association avec point de vente de produit bio, 1 déchèterie, 2 collèges (1 privé et 1 public), 2 écoles maternelles et 2 écoles primaires(1 privée et 1 publique)[25].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Gy, résidence des archevêques de Besançon, avec une tour escalier Renaissance. Construit par Charlemagne, transformé en résidence de plaisance. L'archevêque Choiseul-Beaupré y résida de 1754 à 1774 et réaménagea complètement les lieux. Abandonné, le château fut transformé en collège de 1854 à 1876[36].
- Hôtel de ville de Gy, construit en 1844-1848[25],[37].
- Église Saint-Symphorien de Gy, construite sur les plans de Henri Frignet entre 1769 et 1774, avec un clocher de 1694[38].
- Grande fontaine de Gy, construite entre 1830 et 1835 par les architectes César Convers et Alphonse Delacroix, et qui fut le principal point d'alimentation en eau des habitants de la ville basse[39].
- Lavoir de Gy, chemin dit derrière le Château, construit par l'entreprise Delune et Cie en ciment armé au XIXe siècle[40].
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Le château de Gy.
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L'église Saint-Symphorien.
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La Grande fontaine.
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Le lavoir
- Ancien lavoir (actuel garage et bucher), place des Écuries, construit au milieu du XIXe siècle par l'architecte César Convers en pierre de taille
- Habitat vigneron avec :
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Ruelle du bourg ancien.
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Embrasure de porte, 13 rue Menans.
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Maison à tourelle.
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Détail de la maison à tourelle.
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Sculpture de la maison à tourelle.
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Statue dans une encoignure.
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La caborde des vignes aux lièvres.
Personnalités liées à la commune
modifier- Claude-Antoine Bolot, magisrat et homme politique, né à Gy, avocat à Vesoul.
- Louis Francisque Lélut, médecin français philosophe, né à Gy.
- Noël André connu sous le nom de Père Chrysologue (1728-1808), religieux capucin et scientifique auteur d'une Théorie de la surface actuelle de la terre[41],[42].
- Charles Marie Albert Travelet, ingénieur des ponts-et-chaussées de première classe, ancien élève de l'école polytechnique (promotion 1864), né le à Besançon (Doubs), marié à Berthe Elisabeth Bolot et décédé le à Gy[43].
- Paul Lanoir (1863-1927), organisateur du syndicalisme jaune au début du XXe siècle, est né à Gy.
- Guillaume Dard de Bosco de Gy (1704 - ~1790), était un habile mécanicien qui fut reconnu par l'ingénieur italien Servandoni. Celui-ci lui confia, en 1757, la direction des machines du Théâtre des Tuileries. Treize ans plus tard, il fut chargé de l'exécution des machines du théâtre du roi à Versailles. Il publia un Discours sur les femmes, ouvrage (paru sous pseudonyme) qui était une apologie du sexe féminin[réf. nécessaire].
Héraldique
modifierBlason | D’azur à la foi alésée de carnation[44].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Sabrina Dalibard, « Le bourg et le château des archevêques de Besançon à Gy », dans Congrès archéologique de France. 179e session. Haute-Saône : L'art de bâtir en Franche-Comté au siècle des Lumières. 2020, Paris, Société française d'archéologie, (ISBN 978-2-901837-95-4), p. 65-75
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Office de tourisme des monts de Gy
- « Dossier complet : Commune de Gy (70282) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Gy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gy et Bucey-lès-Gy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gy ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 308b
- Eric Affolter, Atlas des villes de Franche-Comté, Nancy, Presses universitaires de Nancy, , 213 p. (ISBN 2-86480-621-5), p. 128-129
- Histoire de l'église, ville et diocèse de Besançon par François-Ignace Dunod de Charnage page 204
- Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne par François-Ignace Dunod de Charnage page 125
- Memoires et Documents Inedits de la Franche Comté Volume 3 page 153
- Le bichot est une ancienne mesure de capacité pour les grains
- Coutumes générales du pays et Duché de Bourgogne par Pierre Taisand page 870
- Essai sur l'histoire de la Franche Comté, Volume 1 par Edouard Clerc page 416
- Edouard Clerc, Essai sur l’histoire de la Franche-Comté, tome second, Bintot imprimeur-libraire, Besançon, 1846, p.221.
- Duronzier, Mémoire historiques sur la Franche-Comté pendant la domination des ducs de Bourgogne de la Maison de Valois..., Charles Deis, (lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Gy », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Sébastien Michaux, « Un mandat au-dessus de tout », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône, (lire en ligne) « Christelle Rousselle (élue en 2008 pour la première fois) : (...) Mandat de maire. « Je n’étais pas candidate à la fonction de maire, on s’est tourné vers moi. J’ai dit oui, mais il ne faut pas trop savoir à quoi on s’engage... L’apprentissage a été difficile. Je suis à mi-mandat, je commence à maîtriser les rouages. Depuis six mois, j’ai arrêté de travailler pour me consacrer pleinement à la mairie (Christelle Rouselle, mère d’un garçon de 7 ans, est ingénieur agronome, NDLR) ».
Politique. Christelle Rousselle a été la candidate UMP malheureuse sur le canton de Gy. « Je m’y suis engagée quand j’ai été élue maire, d’autant qu’on m’a demandé de me positionner : le conseil municipal n’est pas un lieu pour faire de la politique. Je n’ai pas épousé la cause, je me suis présentée avec cette étiquette, c’est tout. Je ne peux pas défendre telle ou telle chose d’un point de vue strictement politique, ce qui me fait dire que je ne suis pas forcément une bonne candidate...» ». - « Élection du maire et des adjoints », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône, (lire en ligne) « Christiane Charolles a recueilli 3 voix, Christelle Clément 12 voix ».
- « Gy », Données du Monde, Le Monde (consulté le ).
- Catherine Eme-Ziri, « Le blues des maires : Un maire sur deux ne se représentera pas en 2020. 50 % qui jette l'éponge, c'est beaucoup. Plus les communes sont petites plus ce pourcentage augmente. Après le congrès des maires et en plein mouvement des "gilets jaunes", le blues des maires dans Dimanche en Politique Franche-Comté », France 3 Bourgogne-Franche-Comté, 26/11/2018 mis à jour le 3/12/2018 (lire en ligne, consulté le ).
- « Vers un troisième mandat », La Presse de Gray, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un troisième mandat de maire pour Christelle Clément », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le bois pourvoyeur de chaleur pour tous », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Judo Club Gylois », sur Facebook.com (consulté le ).
- « Le château », notice no IA00016238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La mairie », notice no PA00102192, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église paroissiale Saint-Symphorien », notice no IA00016240, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La grande fontaine », notice no PA70000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le lavoir », notice no IA00016248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Louis Suchaux Galerie biographique du département de la Haute-Saône, Volume 1, 1864
- (it) http://www.atlascoelestis.com/ChryN%2002.htm
- Source : Acte de décès numéro 40 du registre des décès de la commune de Gy pour l'année 1885.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).