Eschau
Eschau [ɛʃo] (Aschöi en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle fait partie de l'Aire urbaine Sud de Strasbourg.
Eschau | |
Église Saint-Trophime. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Strasbourg |
Intercommunalité | Eurométropole de Strasbourg |
Maire Mandat |
Yves Sublon 2020-2026 |
Code postal | 67114 |
Code commune | 67131 |
Démographie | |
Gentilé | Escoviens[1] |
Population municipale |
5 746 hab. (2021 ) |
Densité | 486 hab./km2 |
Population agglomération |
487 063 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 29′ 19″ nord, 7° 43′ 00″ est |
Altitude | Min. 142 m Max. 148 m |
Superficie | 11,83 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Strasbourg (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Illkirch-Graffenstaden |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.eschau.fr |
modifier |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située à environ 10 km au sud de Strasbourg. Depuis 2015 elle fait partie du canton d'Illkirch Graffenstaden. Avant cette date elle faisait partie du canton de Geispolsheim
Elle fait aussi partie de l'Eurométropole de Strasbourg. Eschau est reliée à la commune allemande de Neuried par le pont Pierre-Pflimlin.
Wibolsheim, aujourd'hui un quartier au sud d'Eschau, est à l'origine un hameau qui partage l'histoire d'Eschau. Les autres quartiers composant la commune sont le Centre où se situe la mairie, les Vergers (au nord), les Grands Prés (au sud-est) et le Hetzlader (au nord-est).
Eschau a été récompensée par trois fleurs au concours des villes et villages fleuris.
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, par le BRGM :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
modifierCommune située dans une zone de sismicité modérée[2].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal du Rhone au Rhin, le Rhin, l'Ill, le Rhin Tordu, la rivière Schwarzwasser, la Petite Ill, le canal d'Alimentation de l'Ill et le canal d'alimentation du Bassin de Plobsheim[3],[Carte 1].
Le canal du Rhône au Rhin, d'une longueur de 133 km, relie la Saône, affluent navigable du Rhône, au Rhin, par la vallée du Doubs et son prolongement en Haute Alsace jusqu'à Niffer sur le Rhin, un autre prolongement rejoignant Strasbourg par la canalisation de l'Ill[4].
Le Rhin, long de 1 233 km est le plus long fleuve se déversant dans la mer du Nord et de l'une des voies navigables les plus fréquentées du monde. Il traverse la Suisse, l'Autriche, l'Allemagne et les Pays-Bas et marque la frontière entre l'Allemagne et la France[5]. Les caractéristiques hydrologiques du Rhin sont données par la station hydrologique située sur la commune de Strasbourg. Le débit moyen mensuel est de 1 080 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 3 810 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 4 000 m3/s, atteint le [6].
L'Ill, d'une longueur de 217 km, prend sa source dans la commune de Winkel et se jette dans le Grand Canal d'Alsace à Offendorf, après avoir traversé 68 communes[7]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ill sont données par la station hydrologique située sur la commune de Fegersheim. Le débit moyen mensuel est de 41,5 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 62 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 66,7 m3/s, atteint le [8].
Le Rhin Tordu, d'une longueur de 22 km, prend sa source dans la commune de Plobsheim et se jette dans l'Ill à Strasbourg, après avoir traversé quatre communes[9].
La rivière Schwarzwasser, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Rhin en rive gauche à Strasbourg, après avoir traversé trois communes[10].
Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau de Plobsheim, d'une superficie totale de 649,9 ha (136 ha sur la commune) et l'étang Augraben (0 ha)[Carte 1],[11].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[12].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 8 km à vol d'oiseau[15], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 4],[16],[17].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,2 | 0 | 2,6 | 5,7 | 10,1 | 13,4 | 14,9 | 14,5 | 10,7 | 7,2 | 3,3 | 0,8 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 2,5 | 3,6 | 7,4 | 11,3 | 15,5 | 18,9 | 20,6 | 20,3 | 16,1 | 11,5 | 6,3 | 3,3 | 11,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,2 | 7,3 | 12,1 | 17 | 20,9 | 24,4 | 26,4 | 26,1 | 21,6 | 15,8 | 9,4 | 5,9 | 16 |
Record de froid (°C) date du record |
−23,6 23.01.1942 |
−22,3 15.02.1929 |
−16,7 04.03.1965 |
−5,6 21.04.1938 |
−2,4 11.05.1953 |
1,1 02.06.1936 |
4,9 07.07.1961 |
4,8 30.08.1998 |
−1,3 27.09.1943 |
−7,6 31.10.1950 |
−10,8 30.11.1973 |
−23,4 23.12.1938 |
−23,6 1942 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,5 10.01.1991 |
21,1 25.02.21 |
26,3 31.03.21 |
30 22.04.18 |
34,6 20.05.22 |
38,8 30.06.19 |
38,9 25.07.19 |
38,7 07.08.15 |
33,4 11.09.23 |
31 13.10.23 |
22,1 18.11.1926 |
18,6 31.12.22 |
38,9 2019 |
Ensoleillement (h) | 555 | 858 | 1 464 | 1 869 | 2 091 | 2 264 | 2 397 | 2 242 | 1 735 | 1 004 | 552 | 442 | 17 473 |
Précipitations (mm) | 35,4 | 34,1 | 38,6 | 41,8 | 77,2 | 68,5 | 71,9 | 61,3 | 54,6 | 59,5 | 47,6 | 45,2 | 635,7 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,2 −0,2 35,4 | 7,3 0 34,1 | 12,1 2,6 38,6 | 17 5,7 41,8 | 20,9 10,1 77,2 | 24,4 13,4 68,5 | 26,4 14,9 71,9 | 26,1 14,5 61,3 | 21,6 10,7 54,6 | 15,8 7,2 59,5 | 9,4 3,3 47,6 | 5,9 0,8 45,2 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[18]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Toponymie
modifierEschau a eu comme précédents toponymes Hascgaugia, Hascowia, Aschowa et Eschowe.
Le mot Eschau se décompose en deux éléments, Esch ou die Esche, le frêne et die Au ou Aue désignant une île basse ou une étendue de terre ou de prairie humide au bord de l'eau. Eschau signifie donc « l'île aux frênes ». Le terme de « Au » est une appellation courante de part et d’autre du Rhin, notamment en plaine (comme pour Rhinau, Rheinau, Haguenau, La Robertsau ou La Wantzenau...).
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- La M 353 (Rocade sud de Strasbourg) reliant la M 35 au pont Pierre-Pflimlin qui relie la France à l'Allemagne.
- La M 468 reliant Bartenheim à Lauterbourg.
- La M 221 reliant Breuschwickersheim à Eschau.
- La M 222 reliant Hurtigheim à Plobsheim.
Transports en commun
modifierSNCF
modifier- Pas de gare SNCF à Eschau, mais la Gare de Fegersheim - Lipsheim se situe à 3,5 km du centre de Eschau.
Intercommunalité
modifierCommune membre de l'Eurométropole de Strasbourg.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Eschau est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française)[Note 5], une agglomération internationale regroupant 23 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[22]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,3 %), eaux continentales[Note 8] (17,7 %), zones urbanisées (15,2 %), forêts (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), mines, décharges et chantiers (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
modifierLa commune est située sur l'ancienne voie romaine qui reliait Augusta Roracorum (Bâle) à Argentoratum (Strasbourg), aujourd’hui appelée « Route Romane d’Alsace ».
Eschau date du VIIIe siècle, vers 770, époque où l'évêque de Strasbourg Remigius fonda un couvent de bénédictines, dont l’abbaye constitua un lieu de pèlerinage important durant sept siècles et demi.
Dépendant de la seigneurie de Lichtenberg, le village était un fief des Rathsamhausen[26],[27].
Le jardin monastique rassemble, dans la tradition médiévale, des plantes médicinales. Le site est référencé dans le réseau Jardins d'Alsace[28] et labellisé "Jardin remarquable".
Héraldique
modifierLes armes d'Eschau se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierPyramide des âges
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 5 746 habitants[Note 9], en évolution de +15,29 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[36] :
- Écoles maternelles et primaires.
- Collège Sébastien Brant
- Lycées à Illkirch-Graffenstaden
- CFA Centre de Formation pour Apprentis
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[37] :
- Médecins à Eschau, Plobsheim, Fegersheim.
- Pharmacies à Eschau, Plobsheim, Fegersheim.
- Hôpitaux à Illkirch-Graffenstaden, Erstein.
Cultes
modifier- Culte catholique, Communauté de paroisses catholiques Fegersheim Eschau Ohnheim Plobsheim[38], Diocèse de Strasbourg.
- Culte protestant, Paroisse de Plobsheim-Eschau[39].
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres animaux.
Tourisme
modifier- Hôtellerie et restauration.
- Gîtes de France.
- Maison puis Hôtel-restaurant Au Cygne[40].
Commerces et services
modifier- Commerces et services de proximité.
- Eschau est le siège de l'entreprise de machines-outils Huron (ex- Huron Graffenstaden ; appartient depuis 2007 au groupe indien Jyoti)[41].
- Centre national de formation d'apprentis facteurs d'orgues.
Culture
modifierÉvénements et fêtes
modifier- Fin du mois d'août : messti du village.
Jumelages
modifierEschau est jumelée avec :
- Hohberg (Allemagne), Ancienne commune de Hofweier ;
- Goldscheuer (Allemagne).
Lieux et monuments
modifier- Abbatiale Saint-Trophime et l'ancienne abbaye Sainte-Sophie.
-
Vue intérieure de la nef romane. -
Châsse de sainte Sophie (XIVe siècle)[44]. -
Groupe sculpté sainte Sophie et ses trois filles (1470)[45].
- L'église Saint-Trophime[46],[27] est une abbatiale préromane qualifié d'ottonien du Xe siècle. L'église est la deuxième plus ancienne d'Alsace. Elle se présente comme une basilique à trois nefs dont la nef centrale est anormalement large. Les bras du transept sont plus bas que la nef et font figure d'éléments indépendants. Le chœur prolonge directement la nef, sans avant-chœur. De l'abbaye, ruinée à la Révolution, ne subsiste plus aujourd'hui que l'abbatiale romane.
Personnalités liées à la commune
modifier- Remigius ou Remi de Strasbourg.
- Ernest Muhleisen (1897-1981), facteur d'orgue installé Eschau en 1941.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Bas-Rhin
- Liste des abbayes et monastères
- Centre national de formation d'apprentis facteurs d'orgues
Liens externes
modifier- Site officiel de la mairie d'Eschau
- Eschau sur le site de l'Institut géographique national
- "Eschau" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/. Site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
Bibliographie
modifier- La commune d'Eschau, sur www.strasbourg.eu/
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Eschau,Ancienne église abbatiale, église catholique Saint-Trophime, pp. 131-132
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
- Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 330 p. (ISBN 2-271-05154-1)Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Eschau, pages 166 à 167
- Eschau, sur geneawiki.com/
- Anne Frintz, « Jardin monastique de plantes médicinales d'Eschau. Un voyage dans le temps », in Les Saisons d'Alsace, no 72 (L'Alsace, ce beau jardin), printemps 2017, p. 66-69
- Jean Schweitzer, La toponymie alsacienne, éditions Jean-Paul Gisserot, 2001
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 144 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/04/2008 au 01/04/2024.
- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 505 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1975 au 01/04/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Strasbourg (partie française) comprend une ville-centre et 22 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique d'Eschau » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Fiche communale d'information risque et sols
- « Fiche communale d'Eschau », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le canal du Rhône au Rhin »
- Sandre, « le Rhin »
- « Station hydrométrique A0610050 », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- Sandre, « l'Ill »
- « Station hydrométrique A2430030 », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- Sandre, « le Rhin Tordu »
- Sandre, « la rivière Schwarzwasser »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Eschau et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Eschau », notice no IA00024114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Culture et patrimoine » sur eschau.fr, consulté le 27 septembre 2011.
- les Parcs et Jardins d'Alsace
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
- [1]
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Communauté de paroisses catholiques Fegersheim Eschau Ohnheim Plobsheim
- Paroisse de Plobsheim-Eschau
- « Maison puis Hôtel-restaurant Au Cygne », notice no PA67000003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Huron a sauvé sa peau grâce à l’indien Jyoti », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
- Notice no IM67000136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue
- Eschau, St Trophime. Michel Stiehr, 1817
- Notice no PM67000076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Châsse de sainte Sophie : sainte Sophie, saint Osvald, saint Jean-Baptiste, sainte Catherine d'Alexandrie, Expulsion des marchands du Temple, Adoration des Mages, Mise au tombeau, sainte Sophie et ses trois filles
- Notice no PM67000074, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Groupe sculpté : Sainte Sophie et ses trois enfants, sainte Foi, sainte Espérance et sainte Charité
- « L'église Saint-Trophime », notice no PA00084707 et « notice d'inventaire », notice no IA00023089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00023090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Historique » sur eschau.fr, consulté le 27 septembre 2011.
- « Puits 217 rue de la Paix », notice no IA00024127, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Croix monumentale », notice no IA00023020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Croix rue de Rathsamhausen ; impasse du Lion », notice no IA00023019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Calvaire rue du Tramway ; rue de la Première Division Blindée », notice no IA00023021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture