Châteauneuf-sur-Isère
Châteauneuf-sur-Isère est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Châteauneuf-sur-Isère | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Vassy 2020-2026 |
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Code postal | 26300 | ||||
Code commune | 26084 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châteauneuvois, Châteauneuvoises | ||||
Population municipale |
4 038 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 53″ nord, 4° 56′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 111 m Max. 237 m |
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Superficie | 45,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tain-l'Hermitage | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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modifier |
Ses habitants sont dénommés les Châteauneuvois et les Châteauneuvoises[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située sur la rive gauche de l'Isère, à 12 km au nord-est de Valence, à 13 km de Romans-sur-Isère, à 85 km de Grenoble et à 99 km de Lyon.
La commune de Châteauneuf-sur-Isère est traversée par le 45e parallèle nord. Elle est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Communes limitrophes
modifierPont-de-l'Isère Beaumont-Monteux |
Granges-les-Beaumont | Romans-sur-Isère | ||
La Roche-de-Glun | N | Bourg-de-Péage Alixan | ||
O Châteauneuf-sur-Isère E | ||||
S | ||||
Bourg-lès-Valence | Saint-Marcel-lès-Valence | Alixan |
Relief et géologie
modifierLa commune se compose de vallonnements boisés[2].
Sites particuliers :
Géologie
modifierHydrographie
modifierSitué au confluent des deux cours d'eau, la commune est principalement arrosée par la rivière Isère au nord et par le fleuve Rhône à l'ouest.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mercurol »sur la commune de Mercurol-Veaunes à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 864,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par la route nationale RN7 et par les routes départementales 67, 101, 143, 196, 532, 877 et 2532N.
L'autoroute A7 (aussi appelée « autoroute du Soleil ») traverse le sud-ouest de la commune. Son péage le plus proche est au sud, sur la commune de Saint-Marcel-lès-Valence.
La commune est desservie par la ligne 20 du réseau de bus Citéa.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Châteauneuf-sur-Isère est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,7 %), cultures permanentes (35,5 %), terres arables (5,7 %), forêts (4,9 %), eaux continentales[Note 2] (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %), zones urbanisées (1,9 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierQuartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[14] :
- Aiguille
- Beauchastel
- Beauregard
- Beauvache
- Bellevue
- Blache Ronde
- Blanchelaine
- Bois Raymond
- Bonlieu
- Brignon
- Cassiopée
- Chambaud
- Chambons
- Champagnole
- Chapouiller
- Chapoulier
- Charbonnel
- Charnaud
- Chavaran
- Chenevon
- Chessans
- Clozot
- Cornefaim
- Côte Belle
- Côte de Beauregard
- Côte des Baumes
- Creux des Belles
- École de Bonlieu
- Essartout
- Fauconne
- Féripot
- Fougères
- Fouillouse
- Fouillouson
- Fromentières
- Galimbet
- Gatelet
- Genis
- Giraud
- Gour de Marnaud
- Gouyard
- Grailler
- Grand Courbis
- Grange Neuve
- Grenette
- Grobeau
- la Baume
- la Fauconne
- la Gare
- Lally
- l'Ardoise
- la Souvardaine
- la Tuillère
- la Vanelle
- le Cope
- le Grand Champ
- le Grand Creux
- les Baumes
- les Bayles
- les Blaches
- les Camarades
- les Chaux
- les Chirons
- les Communaux
- les Corneries
- les Cures
- les Défendus
- les Deveys
- les Fauries
- les Fauries
- les Franchises
- les Grandes Terres
- les Grands Chassis
- les Grands-Chaux
- les Grenières
- les Hayes
- les Îles
- les Marais
- les Monestiers
- les Moulins
- les Oboussiers
- les Passas
- les Pêches (ouest)
- les Pêches (est)
- les Petits Chassis
- les Quarts
- les Réalières
- les Robins
- les Teppes
- les Tourasses
- les Vaux
- les Voutes
- les Voûtes
- le Télégraphe
- l'Îlas
- Maison Neuve
- Martheraud
- Martusset
- Méan
- Méans
- Michau
- Montagne
- Montbrune
- Moulin
- Nogat
- Pairet
- Palis
- Pararu
- Pavoray
- Pérouiller
- Plaine de Beauregard
- Rebate
- Richard
- Rochas
- Rouvelon
- Royet (?)
- Rozeron
- Saint-Ruf
- Santanay
- Saut des Chèvres
- Tuileron
- Vernaison
- Veyreyre Est
- Veyreyre Ouest
- Viallon
- Vouleux
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierRisques sismiques
modifierAutres risques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1157 : Castellum Novum (Gall. christ, XVI, 104).
- 1192 : Castrum Novum Isarae (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 27).
- 1192 : mention de l'église Saint-André : ecclesia Sancti Andreae apud Castrum Novum Isarae (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 27).
- 1248 : de Chastro Novo (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 157).
- 1326 : Castrum Novum ad rippam Yssere (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 106).
- 1345 : Castrum Novum ad rippam Ysere (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 117).
- 1397 : Castrum Castri Novi Isarae (ordonn. des rois de France, VIII, 136).
- 1430 : mention du mandement : mandamentum Castri Novi Isarae (terrier de l'évêché de Valence).
- 1449 : Castrum Novum Yssere (terrier de Vernaison).
- 1650 : Chasteauneuf d'Izaire (archives de la Drôme, E 600).
- 1793 : Mivallon d'Isère [appellation révolutionnaire].
- 1891 : Châteauneuf-d'Isère, commune du canton du Bourg-de-Péage.
Non daté[réf. nécessaire] : Châteauneuf-sur-Isère.
Étymologie
modifierHistoire
modifierAntiquité : les Gallo-romains
modifierVestiges gallo-romains[2]. À l'époque d'Auguste, une grande voie, la via Agrippa, relie Lyon, Vienne, Arles. Elle longe de plus ou moins près la rive gauche du Rhône et franchit l'Isère par la pont de la Déesse, un peu en aval de Châteauneuf-sur-Isère, là où le cours de la rivière est bien fixé dans la molasse[16].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était une possession des Châteauneuf. On les pense de la même origine que les seigneurs de Chabeuil[15].
- Le premier seigneur connu est Odilon, père de l'évêque de Grenoble Hugues. Son descendant Raymond fonde, sur les bords de l'Isère, le monastère féminin de Commiers (actuel hameau des Monastiers). Dans les années 1220, ce monastère est transféré à Vernaison, toujours dans la seigneurie de Châteauneuf. La puissance de la famille, vassale de l'évêque de Valence, décline au XIIIe siècle. Finalement, en 1292 ou peu avant, le dernier seigneur laïc, Genis IV, échange avec l'évêque de Valence sa seigneurie contre la coseigneurie de Montélier. Le 15 août 1292, l'évêque Jean de Genève renouvelle les privilèges du monastère de Vernaison. Les évêques de Valence, représentés sur place par un châtelain (assisté d'un officier subalterne, le baile, pour collecter les redevances féodales) resteront seigneurs jusqu'à la Révolution[réf. nécessaire].
- Milieu XIIIe siècle : elle est acquise par les évêques de Valence qui resteront seigneurs jusqu'à la Révolution[15].
- 1396 (13 octobre) : les habitants demandent et obtiennent du roi-dauphin des lettres par lesquelles ce prince les prend sous sa sauvegarde[15].
1689 (démographie) : 300 familles[15].
Dans le cadre de la réaction seigneuriale qui a précédé la Révolution française, le seigneur de Châteauneuf interdit la vaine pâture aux familles pauvres[17].
1789 (démographie) : 610 chefs de famille[15].
Avant 1790, Châteauneuf était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église, premièrement dédiée à saint André puis à saint Thomas, dépendait du chapitre de Bourg-lès-Valence qui y prenait la dîme et présentait à la cure.
Le mandement de Châteauneuf ne comprenait que l'ancienne commune de ce nom[15].
Aiguilles
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :
- 1538 : Esguille (terrier de l'évêché de Valence).
- 1540 : mention du seigneur : le seigneur d'Aguilhe (inventaire de la chambre des comptes).
- XVIe siècle : Eiguille (archives de la Drôme, E 394).
- 1661 : Eguilhe (terrier de Ruynat).
- (non daté) : Eguille (plan cadastral).
- 1891 : Aiguilles, hameau, chapelle et château de la commune de Châteauneuf-sur-Isère.
Fief de l'évêché de Valence, possession des Mayaud. Vers 1540, la terre passe aux Genas (encore propriétaires au XVIIe siècle)[18].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, la commune est comprise dans le canton du Bourg-lès-Valence. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Bourg-de-Péage[15].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2021, la commune comptait 4 038 habitants[Note 3], en évolution de +5,18 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierSanté
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Corso de Châteauneuf-sur-Isère : premier week-end après Pâques (défilé de chars fleuris, grande fête foraine et spectacle de sosies).
- Fête communale : le 27 mars[2].
- Fête patronale : le 16 août ou le dimanche suivant[2].
- Vide-grenier : premier dimanche de septembre.
- Les trois jours de découverte historique et patrimoniale du village : deuxième week-end d'octobre.
- Salon du cadeau en novembre : exposition de créateurs artisanaux et bourse aux jouets.
- Marché de Noël en décembre.
Loisirs
modifierSports
modifierMédias
modifier- Le Dauphiné libéré est un quotidien régional distribué sur l'agglomération de Valence. Il a une rédaction valentinoise.
- L'Écho Drôme Ardèche est un journal économique, basé à Valence. Il couvre les deux départements précités[24].
- Drôme Hebdo (anciennement Peuple Libre) est un journal hebdomadaire catholique basé à Valence. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.
- L'Agriculture Drômoise est un journal agricole et rural. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.
Cultes
modifierÉconomie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : céréales, vergers, vignes, caprins, bovins[2].
Les anciennes carrières de molasse ont fermé. Certaines ont été rachetées par les vins Jaboulet dans les années 1990.
- Vineum « Paul Jaboulet aîné » tout sur les vins de la région Hermitage, Crozes-hermitage, Côte-rôtie, Condrieu, Saint-joseph, Cornas, Saint-péray, Châteauneuf-du-pape, Gigondas, Vacqueyras, Beaumes-de-venise, Muscat de Beaumes-de-Venise, Tavel, Côtes-du-rhône villages, Côtes-du-rhône et Ventoux[25]. Histoire, films et dégustations.
Sur le territoire de la commune on comptait 1 800 hectares d'arbres fruitiers (soit 40 % de la surface de la commune et 8 % de la production nationale). Un très grand nombre de ces vergers ont été arrachés à cause de la sharka[réf. nécessaire].
Industrie et commerce
modifierUn barrage et une usine hydro-électrique sont présents sur la commune[2].
Une partie du parc technologique et scientifique Rovaltain est située sur l'est de la commune. Elle est dénommée Parc du 45e parallèle (25 ha).
Ce parc héberge notamment le siège de Prodeval, entreprise spécialisée dans le traitement du biogaz[26].
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Ruines du château[2].
- Ancienne porte de ville sous la chapelle Saint-Hugues.
- Habitations troglodytiques[2] (creusées dans la molasse).
- Cheminées sarrasines (privées).
- Église Saint-Thomas de Châteauneuf-sur-Isère (XIXe siècle) : croix de procession (objet classé)[2].
- Église d'Aiguille.
- Chapelle néo-gothique Saint-Hugues (1896).
- Fontaine de Saint-Hugues dans une grotte[2].
- Statue de Notre-Dame de Pitié (1947) sur la colline du Châtelard.
- Abbaye ruiné de Vernaison (privé).
-
Statue d'Ernengarde, reine de Bourgogne en 1011.
-
Chapelle Saint-Hugues.
-
La chapelle.
-
Maison troglodyte, haut de porte daté de 1672.
-
Vieille cheminée de cuisine, dite sarrasine.
Patrimoine culturel
modifier- Chemin des Carriers.
Patrimoine naturel
modifier- Sentier botanique du Châtelard.
Personnalités liées à la commune
modifier- Saint Hugues est né à Châteauneuf : évêque de Grenoble, fondateur (avec saint Bruno) de la Grande-Chartreuse[2].
Héraldique, logotype et devise
modifierArmorial des communes de la Drôme :
Blason | De sable aux quatre ondes alésées d'azur, au château de trois tours d'argent, ouvert et ajouré d'or, maçonné du champ, brochant sur les deux premières et soutenu des inscriptions "Châteauneuf" brochant sur la troisième et "sur Isère" brochant sur la quatrième, toutes deux d'or. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur sable). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Annexes
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Châteauneuf-sur-Isère sur le site de l'Institut géographique national / page archivée en 2007.
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 30/08/2008.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Châteauneuf-sur-Isère.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Châteauneuf-sur-Isère et Mercurol-Veaunes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 77 (Châteauneuf-d'Isère).
- Françoise et Charles Gardelle, La Drôme des Collines, Saint-Antoine et sa région, Le Royans, Montmélian (Savoie), La Fontaine de Siloé, , 414 p. (ISBN 978-2-84206-486-0), p. 14
- Roger Pierre, Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution, Études drômoises, no 64, mars 1985, page 18
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Aiguilles).
- « Frédéric Vassy, maire de Châteauneuf-sur-Isère : « La gestion de crise, je la partage avec mon équipe », sur le Dauphiné libéré, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site web de l'Echo Valentinois.
- Les appellations
- Thibaut Carage, « Biométhanisation : Prodeval a multiplié son chiffre d'affaires par dix en cinq ans », sur ledauphine.com, (consulté le ).