Barbaste
Barbaste est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Barbaste | |||||
Moulin des Tours et le pont Roman sur la Gélise. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Nérac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Albret Communauté | ||||
Maire Mandat |
Valérie Tonin 2020-2026 |
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Code postal | 47230 | ||||
Code commune | 47021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barbastais | ||||
Population municipale |
1 493 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 10′ 12″ nord, 0° 17′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 146 m |
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Superficie | 38,70 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Nérac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nérac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lavardac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.barbaste.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune de l'aire d'attraction de Nérac située dans son unité urbaine sur la route nationale 655 entre Casteljaloux et Lavardac, à 3 km à l'ouest de Nérac.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Xaintrailles, Durance, Lavardac, Nérac, Pompiey et Réaup-Lisse.
Hydrographie
modifierLa Gélise arrose la commune.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nérac à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Barbaste est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nérac[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), prairies (5,8 %), terres arables (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %), zones urbanisées (1,9 %), cultures permanentes (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Barbaste est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Gélise . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1985, 1988, 1999, 2003, 2009 et 2021[17],[15].
Barbaste est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 85 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2009, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
modifierOn trouve le nom de Barbaste dès 1259 sous la graphie « Barbasta » ; l'hypothèse de Dauzat et Rostaing est qu'elle a été nommée ainsi en souvenir de la ville de Barbastro (en Aragon, en Espagne) conquise en 1060 par les chrétiens sur les Sarrazins[24]. Bénédicte Boyrie-Fénié confirme l'idée du transfert du nom de Barbastro, avec une dissimilation de r, et cite d'autres toponymistes, Ernest Nègre[25] et Jacques Astor[26], tous d'accord avec cette interprétation du nom[27].
La graphie occitane de Barbaste est « Barbasta ». Ainsi que le note Bénédicte Boyrie-Fénié, la ville est dans la zone de a final prononcé [ɔ], d'où [bar’bastɔ], mais il y a eu aux environs de Lavardac une évolution récente liée à l'urbanisation, qui a fait adopter la prononciation de la Gascogne occidentale voisine et du français, c'est-à-dire [bar’bastə].
Histoire
modifierPolitique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 1 493 habitants[Note 5], en évolution de −0,13 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
- La population maximale semble atteinte au recensement de 1881 avec 2 019 habitants.
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Stage de musique baroque de Barbaste
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Pont roman sur la Gélise
- Moulin des Tours de Barbaste
- Lac du Martinet
- Église Notre-Dame de Barbaste (XIXe siècle). Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[33].
- Trace de fossés
- Château de Cauderoue
- Tourelles en poivrière
- Vignoble des côtes de Buzet
- Église Saint-Jean-Baptiste de Lausseignan (XVe siècle). Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[34].
- Église Sainte Quitterie du Béas (XVIIIe siècle). Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[35].
- Pigeonnier à "Lacazeneuve"
- Forêt des Landes
- Allée funéraire du Passage-de-Serbat
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean Auba (1917-2016), haut fonctionnaire et pédagogue né à Barbaste ;
- Louis Godefroy, alias Rivière, né le à Barbaste, mort le à Saint-Jean de Fos (Hérault), résistant français de la Seconde Guerre mondiale, Compagnon de la Libération ;
- Félix Bertaut (1913-2003), né en Pologne de confession juive, réfugié à Bordeaux en 1933, ingénieur chimiste replié à Barbaste en 1940, avant de l'être à Grenoble où il participera aux prémisses du pôle scientifique européen ;
- Casimir Dudevant officier militaire et avocat décédé sur la commune.
Héraldique
modifierBlason | D'azur au pont roman de deux arches et deux demies, mouvant des flancs et de la pointe et sommé d'un château carré de quatre tours, le tout d'argent, maçonné de sable et surmonté de trois fleurs de lis d'or rangées en chef[36]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Nérac comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Barbaste et Nérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Nérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Nérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nérac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Barbaste ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nérac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Barbaste », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Barbaste », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne), n° 30424..
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de famille et des noms de lieux du midi de la France, Millau, Éditions du Beffroi, , 1293 p. (ISBN 2-908123-59-2, BNF 39034098)..
- Bénédicte Boyrie-Fénié, avec la collaboration d’André Bianchi, Pèire Boissière, Patrice Gentié et Maurice Romieu, Dictionnaire toponymique des communes - Lot-et-Garonne, Pau, Éditions Cairn, , 320 p. (ISBN 978-2-35068-231-0), p. 56..
- Sophie Coueille, « Valérie Tonin, nouvelle maire », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 22.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise paroissiale Notre-Dame. », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Sainte-Quitterie. », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Armorial de France