Les Loges-en-Josas
Les Loges-en-Josas est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France, à 4 km au sud de Versailles et à 22 km au sud-ouest de Paris.
Les Loges-en-Josas | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Versailles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc | ||||
Maire Mandat |
Caroline Doucerain 2020-2026 |
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Code postal | 78350 | ||||
Code commune | 78343 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Logeois | ||||
Population municipale |
1 655 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 667 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 45′ 48″ nord, 2° 08′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 91 m Max. 159 m |
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Superficie | 2,48 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Versailles-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Ses habitants sont appelés les Logeois.
Géographie
Situation
La commune des Loges-en-Josas, se trouve dans l'est du département des Yvelines, non loin de la limite de l'Essonne, à six kilomètres environ au sud de Versailles, chef-lieu du département.
Les communes limitrophes sont Jouy-en-Josas du nord-est au sud-est, Toussus-le-Noble au sud-ouest et Buc à l'ouest et au nord.
C'est une commune de 1500 habitants, située entre la vallée de la Bièvre et le plateau de Saclay, qui a conservé son caractère rural malgré la proximité immédiate de zones urbaines et économiques très développées (Versailles, Saint-Quentin-en-Yvelines, Vélizy-Villacoublay, Massy-Palaiseau).
Hydrographie
La commune appartient au bassin versant de la Seine. Le territoire communal est irrigué par la Bièvre, affluent de rive gauche de la Seine, qui traverse la commune dans sa partie nord, s'écoulant dans le sens ouest-est[1].
Territoire
Au nord, le village s'étend jusqu'au fond de la vallée de la Bièvre, en site classé, dans un paysage de prés et de forêts, aux limites de l'ancien domaine de chasse de Versailles. Au sud, sur le plateau de Saclay, le village est bordé de terres agricoles. Le bois de la Garenne s'étend jusqu'au centre du village. De nombreux chemins s'offrent aux promeneurs et aux cyclistes.
Au plan de l'urbanisme, le village est structuré de la manière suivante :
- un centre constitué de maisons mitoyennes datant principalement des XVIIe et XVIIIe siècles, autour de la Grande Rue où se trouvent la mairie et l'église, et de pavillons plus récents
- des résidences pavillonnaires dont certaines se sont quasiment intégrées au centre
- une zone industrielle
- un quartier excentré, le Petit Jouy, partagé avec Jouy-en-Josas et qui suit le fond de la vallée entre la Bièvre et la rue Charles-de-Gaulle, avec des pavillons anciens et récents
L'architecture traditionnelle est celle habituelle de la région, des maisons en meulière.
Infrastructures
Les grands axes routiers les plus proches sont la route départementale D 938, qui mène à Versailles vers le nord et à Châteaufort vers le sud, et passe à Buc, à proximité de la limite ouest des Loges, et l'autoroute A86, qui passe au nord de Jouy-en-Josas.
Le village est desservi par la gare SNCF de Petit Jouy - Les Loges sur la ligne Juvisy - Versailles-Chantiers (RER C), ainsi que par les lignes L, L-JLB, L-LFA et Z du réseau de bus Phébus et par la ligne 50 de la société de transport SAVAC. La gare de Petit Jouy présente ceci de particulier que le guichet se trouve sur la commune de Jouy-en-Josas et les quais, en bois et situés en hauteur sur un viaduc, se trouvent sur la commune des Loges.
L'aérodrome de Toussus-le-Noble se trouve à deux kilomètres du village.
Urbanisme
Typologie
Les Loges-en-Josas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Lorgiæ, Ecclesia de Locagiis au XIVe siècle, Logiæ en 1201[10].
Loge est initialement un terme du langage forestier d'origine germanique *laubja, il signifie « abris de branchages, cabane de feuillages, hutte »[11], comprendre le vieux bas francique. Le terme vieux bas francique est reconstitué d'après le vieux haut allemand louba « auvent » et le moyen haut allemand loube « vestibule, galerie à l'étage supérieur d'un édifice » qui se poursuit dans l'allemand moderne Laube. Le latin médiéval laubia est attesté au IXe siècle dans le domaine français au sens de « galerie, portique »[12].
Josas était le nom de l'archidiaconé de l'ancien diocèse de Paris, celui qui s'étendait au sud de la Seine, il s'est appelé, depuis le XIVe siècle, "archidiaconé de Josas"[13]. Les loges était le nom d'un des deux vicus portant ce déterminant de localisation Josas, dans l'ancien pays de Hurepoix[14].
Histoire
1201 : Première évocation écrite du village. Guy de Lévis est le seigneur des Loges.
XIIIe siècle : Construction d'une chapelle dédiée à saint Eustache, patron des chasseurs.
XIVe siècle : Les Loges-en-Josas deviennent une paroisse.
XVIIe siècle : Création du Grand Parc de Versailles, le mur d'enceinte, qui fut terminé en 1685, coupe la commune de la maison forestière à la porte des Loges.
1675 : La paroisse des Loges est rattachée au duché de Chevreuse.
1684 - : Construction de l'aqueduc de Buc sur ordre de Louvois, surintendant des bâtiments du roi Louis XIV. Un aqueduc souterrain traversant la commune, relie les étangs du Trou Salé et de Villaroy à l'aqueduc de Buc.
1699 : Construction de l'église actuelle à la place de la chapelle du XIIIe siècle.
: Rédaction du cahier de doléances en vue des États Généraux.
: Création par décret des cantons, départements et districts. Jouy-en-Josas est chef-lieu de canton. Celui-ci regroupe 12 communes dont les Loges.
: Première ébauche de cadastre dans le canton. (Terminé en 1812 à Jouy).
26 ventôse, an III : Mise en vente et en location des biens de la cure des Loges. (ainsi que le 11 ventôse an IV et le 17 brumaire an V) : Loi du 28 pluviôse an VIII : cette loi institue dans chaque département, un préfet, un conseil de préfecture, un conseil régional. Les municipalités cantonales sont supprimées au profit des municipalités communales. En Seine-et-Oise, le nombre de cantons passe de 63 à 36. Le canton de Jouy qui regroupe toute la haute vallée de la Bièvre, est éclaté : Jouy et Les Loges sont rattachées au canton de Versailles, les autres communes au canton de Palaiseau..
1805 : Edification du pont de pierre dit d'Austerlitz sur la route de Jouy (l'autorisation de construction de ce pont a été signée de la main de Napoléon, le soir de cette fameuse bataille - le ).
1867 : Installation de l'école dans la mairie actuelle.
- : Occupation prussienne.
1877-1883 : Création de la ligne de chemin de fer appelée "La grande Ceinture", une halte est aménagée sur la ligne au Petit-Jouy.
: La commune est affectée au 11e régiment d'artillerie.
1914-1918 : Un dépôt de munitions est installé dans les bois de la Garenne.
: Un groupe de la IIe DB du général Leclerc en provenance de Toussus-le-Noble traverse les Loges pour rejoindre l'aérodrome de Villacoublay afin de participer à la libération de Paris (le ).
: Un avion qui assure une liaison régulière avec l'Angleterre, s'écrase avec à son bord Jean Demozay (dit Morlaix), célèbre pilote de chasse de la Deuxième Guerre mondiale.
1952 : Ouverture du château des Côtes, centre de cardiologie infantile par la Société de charité maternelle de Paris. Elle accueille 80 enfants.
1959 : Ouverture de l'école primaire actuelle.
: Séparation du département de Seine-et-Oise en cinq départements, dont les Yvelines, dans lequel la commune est située.
: Ouverture de l'école maternelle qui comporte trois classes, ainsi qu'une cantine scolaire, et une garderie.
1978 : Construction de la maison dites des Jeunes qui sera rebaptisée par la suite Maison des associations.
1979 : Construction de l'actuel bureau de poste par la commune.
: Classement d'une grande partie de la Haute-Vallée de la Bièvre. (2 000 ha environ).
Les Hospitaliers
En avril 1199, Walleran Vestrion donna aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ce qu'il possédait au Loges avec les droits de justice et de seigneurie[15],[16].
La commanderie des Loges du prieuré hospitalier de Saint-Jean de Latran rapportait en 1356 cinq muids de grain, en 1757 750 livres et en 1783 1 590 livres[16].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2022, la commune comptait 1 655 habitants[Note 3], en évolution de +5,62 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,8 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 52,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 28,9 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 17,7 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 20 %) ;
- 47,2 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 12,3 %, 30 à 44 ans = 22,3 %, 45 à 59 ans = 22,6 %, plus de 60 ans = 20,9 %).
Politique et administration
Liste des maires
Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc
La communauté d'agglomération Versailles Grand Parc regroupe 11 communes, totalisant 163 466 habitants (dont 148 377 dans les Yvelines et 4 200 dans l'Essonne). Les communes sont Bièvres, Bois d'Arcy, Buc, Les Loges-en-Josas, Toussus-le-Noble, Fontenay-le-Fleury, Rocquencourt, Jouy-en-Josas, Saint-Cyr-l'École, Versailles et Viroflay. La ville principale, Versailles, représente 56 % de la population totale.
Les compétences sont l'aménagement du territoire avec l'élaboration d’un schéma de cohérence territoriale et le développement économique. D'autres compétences optionnelles ont été rajoutées avec l'environnement, le logement : élaboration du programme local de l’habitat intercommunal, constitution de réserves foncières pour la construction de logements sociaux et le transport avec l'élaboration d’un plan local de déplacement (PLD), organisation des transports urbains.
Culture
Patrimoine architectural
- L'église Saint-Eustache, bâtie en meulière, a été construite en 1699 à l'emplacement d'une chapelle du XIIIe siècle dédiée à ce saint. La porte de style Renaissance date du XVIe siècle.
- Le château des Cotes est devenu un centre de cardiologie infantile qui gère la santé de 80 enfants.
Équipements culturels
La commune dispose d'une bibliothèque-médiathèque ainsi que d'une école de musique et de théâtre.
Vie économique et sociale
Les Loges-en-Josas est avant tout une commune résidentielle accueillant une population particulièrement aisée. Avec un revenu net imposable moyen annuel de 86 411 € par ménage en 2007[25], il s'agirait de la septième commune la plus riche de France[26].
La vie économique de la commune est essentiellement tournée vers sa zone industrielle de 19 ha qui accueille de nombreuses entreprises, dont le centre de recherches Claude-Delorme de la société Air liquide.
La proximité de grands centres d'activité (notamment Versailles, Vélizy-Villacoublay, Saint-Quentin-en-Yvelines) apporte de nombreuses infrastructures dans un périmètre restreint (transports, commerces, loisirs, administrations). Cependant, de nombreux champs et pâturages sont présents sur la commune et exploités par des fermes des environs, ainsi qu'une pépinière et de l'exploitation forestière.
Enseignement
La commune dispose d'une crèche, une école maternelle et d'une école primaire.
Les élèves du second degré vont au collège à Buc et au lycée à Versailles.
Du CM2 à la terminale, il est également possible d'aller au lycée franco-allemand de Buc (admission sur concours).
Santé
Le château des Côtes, centre de cardiologie infantile accueillant 90 enfants, est géré par la société de charité maternelle de Paris.
Personnalités liées à la commune
- Le poète François Villon (1431-1463) serait né dans le village selon certains ouvrages[27]. Dans un ouvrage consacré au poète, Auguste Longnon a recherché les traces de ce «maistre es arts» dans les registres universitaires et l'identifie comme étant François de Montcorbier, son véritable nom, Villon n'étant qu'un surnom qu'il utilise dans ses œuvres, cité en 1449 parmi les «baccalariandi» et en 1452 parmi les «licenciati» : «Franciscus de Montcorbier, de Parisius», ce qui tendrait à montrer qu'il est né à Paris. Auguste Longnon considère ces mentions plus probantes qu'une lettre de rémission de la chancellerie royale employant pour désigner le célèbre poète les termes de «maistre François des Loges»[28].
- Jean Demozay (1915-1945), pilote de chasse de la Seconde Guerre mondiale, est mort dans un accident d'avion aux Loges-en-Josas le [29].
- Plusieurs emplacements du village ont été représentés par E. P. Jacobs dans la bande dessinée S.O.S. Météores (épisode de la série des Blake et Mortimer), figeant des vues du village tel qu'il était en 1958 (voir Liens externes).
Galerie
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Château des Côtes.
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Gare du Petit-Jouy.
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Monument aux morts.
-
Autre vue de l'église.
Voir aussi
Bibliographie
- Eugène Mannier, Les commanderies du grand prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux archives nationales à Paris, Paris, (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Références
- « Fiche cours d'eau - Bièvre (F70-0400) », Sandre (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 p. (ISBN 2-86253-220-7).
- Site du Cnrtl : étymologie de loge [1]
- Lucien Gallois, Paul Vidal de La Blache, Régions naturelles et noms de pays : étude sur la région parisienne, Comité des travaux historiques et scientifiques - CTHS, , p. 119.
- Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 240.
- Archives nationales S 5124, supplément n. 35
- Mannier (1872) p. 41
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Évolution et structure de la population à Les Loges-en-Josas en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Les Loges-en-Josas », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
- « Les Elus Communautaires de Versailles Grand Parc » (consulté le ).
- INSEE - Résumé statistique des Loges-en-Josas
- L'Encyclopédie des Villes de France
- François Boulet, Histoire des Yvelines : l'esprit des lieux et des siècles dans l'Ouest parisien, Saint-Germain-en-Laye, Les Presses Franciliennes, , 303 p. (ISBN 978-2-919495-00-9), p. 175.
- Auguste Longnon, François Villon et ses légataires, Alphonse Lemerre, (lire en ligne), p. 206-207, 225.
- « Jean Demozay dit Morlaix », Mairie des Loges-en-Josas (consulté le ).