« Hôpitaux universitaires de Strasbourg » : différence entre les versions

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Histoire : Techniquement la ville était d'abord allemande, donc après être devenue française, elle redevient allemande après la guerre de 1870-71
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Runi Gerardsen (discuter | contributions)
m Annulation de la modification de 37.170.100.100 (d) l’Alsace n’avait jamais fait partie de l’Empire allemand avant 1870, mais du SERG, pas la même chose
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=== Strasbourg, capitale du Reichsland d'Alsace-Lorraine ===
À la suite de la [[Guerre franco-allemande de 1870|guerre de 1870]], [[Strasbourg]] redevientdevient [[Empire allemand|allemande]]. Afin d'affirmer le rayonnement intellectuel et scientifique allemand, les autorités recrutent et mettent en chantier un vaste ensemble de nouvelles constructions qui deviendront des « instituts » de la [[faculté de médecine de Strasbourg]] (anatomie, anatomie-pathologique et [[histologie]] ; [[physiologie]] ; [[pharmacologie]] ; [[biophysique]] ; [[biochimie|chimie biologique]], [[hygiène]] et [[Microbiologie|bactériologie]]) et des « cliniques » de l'hôpital de Strasbourg.
Une nouvelle convention, datée du {{date|30 octobre 1872}}, entre l’université et l’hôpital fixe les conditions matérielles et de maintenance des cliniques. Ainsi l’hôpital paye pour la maintenance (chauffage, éclairage, gaz, eau…) et l’université paye annuellement la partie qui lui revient.
Entre [[1881]] et [[1914]], plus d'une dizaine de cliniques et services sont aussi mis en place :
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Le {{date|28|octobre|1935}}, les hospices civils de Strasbourg et la faculté de médecine signent une nouvelle convention. Cette convention retransférait toutes les cliniques sous le contrôle de l’hôpital de Strasbourg, mais les laboratoires des cliniques et les instituts scientifiques restent sous le contrôle de la faculté. L’hôpital ne possédant pas de laboratoires est alors obligé de sous-traiter, en général contre financement<ref>Prof. Rohmer (CI Infant) à {{M. |le Directeur}}, 21 février 1936. Dossier concernant le tarif des examens des laboratoires. Casier 153F. AHUS</ref>, les analyses médicales aux laboratoires de la faculté. Ces laboratoires, appelés ‘’laboratoires conventionnés’’, proposent leurs services aussi bien à l’hôpital public qu’au secteur privé. Cependant la situation financière reste encore assez confuse comme le montre le contrôle suivant de la cour des comptes en 1937.
 
En 1936, le centre Paul Strauss intègre un nouvel établissement. Ce [[Centre régional de lutte contre le cancer|centre de lutte contre le cancer]], avec son service administratif, ses laboratoires, un bloc opératoire ainsi que les salles de [[curiethérapie]] et de [[Radiothérapie|roentgenthérapie]], est inauguré par le président de la république [[Albert Lebrun]] en 1936.
 
== La Seconde Guerre mondiale ==