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Micheline Ostermeyer hérite de son côté paternel, adepte de [[gymnastique suédoise]], son goût du sport, avec notamment l'opposition avec les garçons de son âge{{Sfn|Margot|2017|loc=Micheline Ostermeyer : L'incomparable|p=73}}. De son côté maternel, elle hérite de la passion du piano, que sa mère commence à faire pratiquer dès l'âge de quatre ans, et que son grand-père la fait se produire en public à l'âge de huit ans{{Sfn|Margot|2017|loc=Micheline Ostermeyer : L'incomparable|p=74}}.
 
Elle passe sa jeunesse en [[Tunisie]] où sa famille s'installe en 1929, alors protectorat français{{Sfn|Margot|2017|loc=Micheline Ostermeyer : L'incomparable|p=74}}, où elle apprend le piano. Vu ses capacités, elle revient en France et entre au [[Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris|Conservatoire]] avec l'aide de [[Lazare-Lévy]].
 
Durant la [[Seconde Guerre mondiale]], elle retourne en Tunisie où, grâce à son père, elle découvre le sport, pratiquant le [[basket-ball]] et l'[[athlétisme]]. Dès la fin de la guerre, elle revient à Paris, obtenant le premier prix de piano au Conservatoire le {{date-|13 juillet 1946}}{{Sfn|Margot|2017|loc=Micheline Ostermeyer : L'incomparable|p=78}} (« Je consacre cinq heures par jour au piano et cinq heures par… semaine au sport ! »)<ref> {{Lien web|url=https://www.olympic.org/fr/news/l-athlete-musicienne|titre=L’athlète musicienne|date=21 décembre 2007|site=olympic.org|consulté le=12 février 2018}}.</ref> et devient concertiste.