« Jacques Mennessons » : différence entre les versions
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=== Rencontres avec Laurens et Gleizes ===
Aux Salons des moins de 30 ans de 1946 et 1947, un jury exigeant (y siège [[Jacques Villon]]) accepte ses envois : ''L’Homme et son chien qui saute'' (1946) et ''
Il continue ses visites au [[Musée du Louvre|Louvre]] où il exécute des copies. Une toile de [[Henri Matisse|Matisse]] ''Au magnolia'' lui révèle « la présence du cœur », une lumière invisible qui émane d’une surface colorée très puissante.
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* Apocalypse : Son étymologie : dévoilement de ce qui est caché, explique l'attirance de Mennessons pour ce Livre, le dernier de la [[Bible]], car il épouse le sens même de son œuvre et de sa vie : aller au-delà des apparences.
* Nombres : Dès le début de son chemin de peintre, la découverte du nombre d'or dans les livres de Matila Ghyka a révélé à Mennessons sa richesse. Au fil du temps, les nombres sont devenus pour lui matériau de prédilection, par leurs possibilités infinies de variations et la maîtrise dans la liberté qu’ils lui offraient.
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== Expositions ==
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