« Commune de Paris » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Balises : Révoqué Modification par mobile Modification par le web mobile
(24 versions intermédiaires par 18 utilisateurs non affichées)
Ligne 5 :
| année début = {{date|18|mars|1871-}}
| année fin = {{date|28|mai|1871}}<br/>'''{{Durée|18|mars|1871|28|mai|1871}}'''
| drapeau = RedSocialist red flag.svg
| drapeau lien = [[Drapeau rouge]].
| texte fondamental =
Ligne 22 :
| leaderA3 = [[Louis Rossel|Rossel]], [[Charles Delescluze|Delescluze]]…
| evt1 date = {{date-|18|mars|1871}}
| evt1 = Les Parisiens, essentiellement ouvriers, artisans et professions libérales, [[Soulèvement du 18 mars 1871|se soulèvent]] contre le gouvernement d'Adolphe Thiers qui veut désarmer la Garde nationale, et empêchent l'enlèvement des canons de la Garde nationale ; le gouvernement quitte Paris pour Versailles. L'assemblée nationale vote une loi qui supprime la solde payée aux gardes nationaux, et accule à la faillite des milliers d'artisans et de commerçants en mettant fin au moratoire sur les effets de commerce.
| evt2 date = {{date-|26|mars|1871}}
| evt2 = [[Élections municipales du 26 mars 1871 à Paris|Élections]] des membres du [[Conseil de la Commune]].
Ligne 40 :
| s1 = {{drapeau|France}} [[Troisième République (France)|Troisième République]] ([[Occupation de la France par l'Allemagne de 1870 à 1873|Territoires occupés par l'Allemagne de 1871 à 1873]])
}}
La '''Commune de Paris''' est la plus importante des [[Communes insurrectionnelles en France en 1870-1871|communes insurrectionnelles de France en 1870-1871]], qui dura {{nombre|7172|jours}}, du {{date|18 mars 1871}} à la « [[Semaine sanglante]] » du [[21 mai|21]] au {{date|28 mai 1871}}. Cette [[insurrection]], faisant suite aux communes [[Commune de Lyon|de Lyon]] et [[Commune de Marseille|de Marseille]], refusa de reconnaître le gouvernement issu de l'[[Assemblée nationale (1871)|Assemblée nationale constituante]], qui venait d'être élue au [[suffrage universel masculin]] dans les [[Guerre franco-allemande de 1870|portions non occupées du territoire]], et choisit d'ébaucher pour la ville une organisation de type [[libertaire]], fondée sur la [[démocratie directe]], qui donnera naissance au [[communalisme]]. Ce [[Déclaration au peuple français|projet d'organisation politique]] de la République française visant à faireunir voterles dans lesdifférentes communes desinsurrectionnelles loisne décidéessera directementjamais parmis le peuple, sera suppriméen avecœuvre du fait de l'leur écrasement, les arrestations, fusillades et déportation des communards, lors de la [[campagne de 1871 à l'intérieur]] dont la [[Semaine sanglante]] constitue l'épisode parisien et la répression la plus célèbre. Les mesures votées dans la commune et mises en place durant cette période furent également annulées (égalité de traitement femme-homme pour les salaires, école primaire laïque et gratuite dans le 20e arrondissement, cotisations de solidarité pour veuves, orphelins..)
 
La Commune est à la fois le rejet d'une [[armistice franco-allemand (1871)|capitulation de la France face aux menées de Bismarck]] lors de la [[Guerre franco-allemande de 1870|guerre franco-prussienne de 1870]] et du [[Siège de Paris (1870-1871)|siège de Paris]], et une manifestation de l'opposition entre un Paris républicain, favorable à la [[démocratie directe]], et une Assemblée nationale à majorité monarchiste acquise au [[Démocratie représentative|régime représentatif]]. Cette insurrection et la violente répression qu'elle subit eurent un retentissement international important, notamment au sein du [[mouvement ouvrier]] et des différents mouvements révolutionnaires naissants. La Commune est de ce fait encore aujourd'hui une référence historique importante pour les mouvements d'inspiration [[libertaire]], la mouvance révolutionnaire issue du mouvement ouvrier et plus largement pour les sympathisants de [[gauche (politique)|gauche]], y compris réformistes, ou encore d'autres mouvements favorables à la démocratie directe. [[Femmes dans la Commune de Paris|L'implication de nombreuses femmes]] est également un trait remarquable de cet épisode.
C'zst aussi un moment unique pendant lequel les categories sociales ouvrieres et artisanes ont discuté, voté et mis en place dans de courts delais des mesures sociales, egalitaires, et protegeant les travailleurs et plus vulnerables.
Cette insurrection et la violente répression qu'elle subit eurent un retentissement international important, notamment au sein du [[mouvement ouvrier]] et des différents mouvements révolutionnaires naissants. La Commune est de ce fait encore aujourd'hui une référence historique importante pour les mouvements d'inspiration [[libertaire]], la mouvance révolutionnaire issue du mouvement ouvrier et plus largement pour les sympathisants de [[gauche (politique)|gauche]], y compris réformistes, ou encore d'autres mouvements favorables à la démocratie directe. [[Femmes dans la Commune de Paris|L'implication de nombreuses femmes]] est également un trait remarquable de cet épisode.
 
== À l'origine de la Commune ==
Ligne 107 ⟶ 105 :
[[Fichier:Panneau Parc d'artillerie de Montmartre.jpg|vignette|gauche|upright|[[Panneau Histoire de Paris]] : ''Le parc d'artillerie de Montmartre''.]]
 
Le 17 mars 1871, Adolphe Thiers et son gouvernement, évaluant mal l'état d'esprit des Parisiens, envoient au cours de la nuit la troupe sous le commandement du [[Claude Lecomte (général)|général Lecomte]] s'emparer des canons de la Garde nationale sur la butte [[Montmartre]]. Alors que la population et les gardes nationaux se rassemblent, Lecomte ordonne de faire feu sur la foule, mais par trois fois ses soldats refusent d’obtempérer. Le général est capturé par les insurgés et tué le lendemain, comme le [[Jacques Léon Clément-Thomas|général Clément-Thomas]], malgré la demande de protection du maire du [[18e arrondissement de Paris|{{18e|arrondissement}}]], [[Georges Clemenceau]]. Ce même jour, Thiers organise l'arrestation d'[[Auguste Blanqui]]<ref>Républicain révolutionnaire insurrectionnaliste, surnommé « l'Enfermé » pour avoir passé plus de la moitié de sa vie dans les prisons des rois et de l'empereur.</ref> qui se reposait chez un ami médecin à [[Bretenoux]] ([[Lot (département)|Lot]]). De là, il le fait transférer en [[Bretagne]], sous surveillance militaire, avec ordre de tirer en cas d'évasion.
 
[[Image:Communecannon.jpg|vignette|Les [[Comité central de la Garde nationale|gardes nationaux du Comité Central]] remontant à leur parc, les canons de [[Montmartre]] le 18 mars 1871.]]
Ligne 159 ⟶ 157 :
| height="13" | Commission de la Guerre
| [[Charles Delescluze]], [[Gustave Tridon]], [[Augustin Avrial]], [[Georges Arnold]], [[Gabriel Ranvier]]
| [[Gustave Paul Cluseret|Gustave Cluseret]]
| [[Louis Rossel]] (01/05/1871), [[Alfred-Édouard Billioray]] (08/05/1871), [[Charles Delescluze]] (10/05/1871)
|- valign="bottom"
Ligne 296 ⟶ 294 :
 
== ''Communards'' contre ''Versaillais'' ==
[[Image:Versaillais(--)Communards.jpg|thumb|right|upright=1.1|Carte des opérations et de la prise de Paris durant la « [[Semaine sanglante]] ».]]
[[Image:Le fort d'Aubervilliers - Batterie dirigée sur Paris durant l'insurection.JPG|thumb|right|upright=1.1|Les [[Royaume de Prusse|Prussiens]] favorisèrent l'offensive contre la Commune. Ici, batterie prussienne au [[fort d'Aubervilliers]], pointée sur Paris. Cliché d'[[Alphonse Liébert]].]]
 
Ligne 405 ⟶ 404 :
[[Fichier:Paris 1871 - communards.jpg|thumb|gauche|[[Cadavres d'insurgés dans leurs cercueils|Corps de combattants de la Commune de Paris disposés dans des cercueils]] (photographie d'[[André Adolphe Eugène Disdéri|Eugène Disderi]]).]]
 
Le bilan humain de la Commune de Paris fait l'objet de débats et de controverses<ref name="FC010321">Chloé Leprince, [https://www.franceculture.fr/histoire/la-commune-de-paris-plus-grand-martyre-de-civils-deurope-idee-recue-ndeg3 La Commune de Paris, plus grand martyre de civils d'Europe ? Idée reçue n°3], ''France Culture'', {{1er}} mars 2021.</ref>. En 1876, le journaliste et polémiste [[Socialisme|socialiste]] [[Prosper-Olivier Lissagaray]], ancien [[communard]], estime de {{formatnum:17000}} à {{formatnum:20000}} le nombre des fusillés<ref>[[Prosper-Olivier Lissagaray]], ''L'histoire de la commune de 1871'', rééd. La Découverte, 526{{nb p.}} 2004 / Première publication en 1876 / seconde publication rallongée, éd Dentu, Paris, 1896, {{p.|391-394}}.{{Gallica|n=bpt6k36518g|t=L'histoire de la commune de 1871}}.</ref>{{,}}<ref name="FC010321"/>. En 1880, le journaliste et homme politique [[Camille Pelletan]], membre du [[Parti républicain, radical et radical-socialiste|Parti radical-socialiste]] situe le nombre des victimes à {{formatnum:30000}}<ref>[[Camille Pelletan]], ''La Semaine de Mai'', 1880, {{p.|396}}.</ref>{{,}}<ref name="FC010321"/>. Ce nombre ensuite abondamment repris par les différents auteurs du {{XIXe|s}} et du {{s-|XX}}<ref name="FC010321"/>. En [[2021]], l'historien [[Éric Fournier (historien)|Éric Fournier]] indique cependant que ce bilan a un double niveau de lecture, car Camille Pelletan cherche ainsi à présenter la [[Semaine sanglante]] comme plus meurtrière encore que la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]] de [[1792]]-[[1794]] et ainsi réhabiliter les débuts de la [[Première République (France)|Première République]]<ref name="FC010321"/>.
 
En [[2009]], l'historien [[Jacques Rougerie (historien)|Jacques Rougerie]] estime que probablement {{unité/2|3000|à=4000|fédérés}} sont morts au combat<ref name="Rougerie107">{{harvsp|Rougerie|2009|p=107}}.</ref>. Le nombre total des victimes de la Semaine sanglante ne peut être connu avec précision, mais il est d'« au minimum {{nb|10000}}, probablement {{nb|20000}}, davantage peut-être »<ref>{{harvsp|Rougerie|2009|p=113}}.</ref>.
 
En [[2014]], l'historien britannique [[Robert Tombs]] revoit le bilan à la baisse et évalue entre {{formatnum:5700}} et {{nombre|7400}} le nombre des morts, dont environ {{formatnum:1400}} fusillés<ref name="Tombs2014317-318">{{harvsp|id=Tombs2014|Tombs 2014|p=317-318}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=en|url=http://www.h-france.net/Salon/Salonvol3no1.pdf|titre=How bloody was la Semaine Sanglante? A revision. Robert Tombs, St John’s College, Cambridge|site=h-france.net|consulté le=30 juin 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=http://www.h-france.net/Salon/Salonvol3no2.pdf|titre=Commentaire de Quentin Deluermoz, Université Paris 13/Nord|site=h-france.net|consulté le=30 juin 2016}}.</ref>.
 
Selon l'historien [[Quentin Deluermoz]], qui cite en exemple la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]], la [[guerre de Vendée]], la [[bataille de Montréjeau]], la [[Trois Glorieuses|révolution de Juillet]] et les [[Journées de Juin]], {{Citation|la révision à la baisse}} des victimes de la Semaine sanglante {{Citation|s'inscrit en fait dans une tendance historiographique concernant les grands massacres du XIXe siècle}}<ref name="FC010321"/>.
 
En [[2021]], l'écrivaine et mathématicienne [[Michèle Audin]] conteste le bilan de [[Robert Tombs]] et estime que le nombre des communards tués se situe probablement entre {{formatnum:15000}} et {{formatnum:20000}}<ref>[[Michèle Audin]], ''La Semaine sanglante - Mai 1871. Légendes et comptes'', Libertalia, 2021</ref>.
 
En [[2021]], l'historien [[Jacques Rougerie (historien)|Jacques Rougerie]] révise son bilan. Il considère que Robert Tombs néglige les inhumations sauvages, mais que le bilan de près de {{nombre|30000}} morts donné par [[Camille Pelletan]] est {{Citation|incontestablement une estimation excessive}}<ref name="Rougerie2021-116">{{harvsp|id=Rougerie2021|Rougerie 2021|p=116}}.</ref>. Jacques Rougerie conclut qu'un bilan de {{nombre|10000}} victimes semble le plus plausible et {{Citation|reste énorme pour l'époque}}<ref name="Rougerie2021-116"/>.
 
En face, l'armée versaillaise dénombre officiellement {{nb|877 tués}}, {{nombre|6454|blessés}} et {{nb|183 disparus}} pour l'ensemble des combats livrés contre les communards<ref name="Rougerie107"/>{{,}}<ref>900 morts selon {{article|prénom1=Michaël|nom1=Bourlet|titre=L’Armée de Versailles pendant la Semaine sanglante et les combats de rues (21-28 mai 1871)|périodique=Revue historique des armées|numéro=238|année=2005|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20090710005847/http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/04histoire/articles/articles_rha/armeedeversailles.htm|consulté le=27 février 2008}}.</ref>. Selon [[Robert Tombs]], pour la période spécifique de la Semaine sanglante, le bilan est d'environ {{nb|400 soldats}} et officiers tués et {{nb|3000 blessés}}, dont {{nombre|1000}} sérieusement, soit environ {{nb|500 morts ou blessés par jour}}<ref name="Tombs2014303">{{harvsp|id=Tombs2014|Tombs 2014|p=303}}.</ref>.
Ligne 690 ⟶ 689 :
 
[[Hô Chi Minh Ville]] (Vietnam) possède une [[Place_de_la_Commune-de-Paris_(H%C3%B4_Chi_Minh-Ville)|place de la Commune de Paris]] (Công trường Công xã Paris en vietnamien).
 
À [[Tirana]] (Albanie) un quartier de la ville s'appelle Commune de Paris (Komuna e Parisit en albanais)
 
=== Cartes ===
Ligne 709 ⟶ 710 :
 
== Voir aussi ==
{{Autres projets
| wikisource = Portail:La Commune de Paris (1871) | wikisource titre = La Commune de Paris
| commons = Commune de Paris | commons titre = la Commune de Paris
}}
 
=== Sources primaires ===
==== Témoignages ====
Ligne 831 ⟶ 827 :
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=François|nom1=Furet|lien auteur1=François Furet|titre=La Révolution|sous-titre=de Turgot à Jules Ferry 1770-1880|éditeur=Hachette|collection=Histoire de France Hachette|lieu=Paris|numéro dans collection=4|année=1988|pages totales=525|format livre=525 p. : ill. en noir et en coul. ; 30 cm|isbn=2-01-009462-X|bnf=349611932}}.
* {{article | auteur=Joseph Durieux | titre=La dernière heure de Jean-Georges Veysset | périodique=Bulletin de la [[Société historique et archéologique du Périgord]] | date=1946 | tome=73 | numéro=4 | passage=161-165 | lire en ligne=https://docs.shap.fr/BSHAP/BSHAP_1946-4.pdf }} {{Commentaire|Communication sur son jugement pour traitrise reconnue et exécution sur le Pont-Neuf le 24 mai 1871}}
* [https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&rk=21459;2&query=dc.relation%20all%20%22cb32206731n%22%20sortby%20dc.title%2Fsort.ascending Georges Guillaume : ''Souvenirs d'un garde national pendant le siège de Paris et pendant la Commune par un volontaire suisse'' en 2 parties]
* [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39222m ''Histoire de la Révolution de 1870-1871'' en 2 volumes, 1877, volume 1], [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39223z volume 2]
 
=== Filmographie ===
Ligne 839 ⟶ 837 :
=== Iconographie ===
* « [https://cudl.lib.cam.ac.uk/collections/caricatures/1 Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871] », [https://www.lib.cam.ac.uk/stories/caricatures-franco-prussian-war-and-paris-commune-1870-71 Cambridge University Library]
*« [https://heidicon.ub.uni-heidelberg.de/search?p=59&ot=objekte&inp=fulltext:Collection%20caricatures%20charges%20guerre Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871] », {{Anglais|Heidelberg University Library}}
* {{Lien web|url=http://www.marxists.org/history/france/paris-commune/images/|titre=Photographies et caricatures de la Commune de Paris|site=marxists.org|consulté le=30 juin 2016}} sur le site des ''Marxists Internet Archives''
* {{Lien web|url=http://www.library.northwestern.edu/spec/siege/|titre=Photographies et caricatures du siège et de la Commune de Paris|site=library.northwestern.edu|consulté le=30 juin 2016}} sur le site de la ''Northwestern University Library''
* [http://www.calames.abes.fr/pub/lacontemporaine.aspx#details?id=Calames-20181219121234872360 Inventaires] des fonds d'affiches numérisées relatifs à la [http://www.calames.abes.fr/pub/lacontemporaine.aspx#details?id=Calames-20181219121234872227 Commune de Paris] (1871) et conservés à [[La Contemporaine (bibliothèque)|La Contemporaine]] (Nanterre).
* Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871: [https://exhibitions.lib.cam.ac.uk/caricatures/ Exposition virtuelle] et [https://www.lib.cam.ac.uk/stories/caricatures-franco-prussian-war-and-paris-commune-1870-71 déroulé], {{Anglais|[[Cambridge University Library]]}}.
 
=== Articles connexes ===
{{Catégorie principale}}
* [[Chronologie de la Commune de Paris]]
* [[Ordre de bataille de l'armée versaillaise]]
Ligne 861 ⟶ 860 :
 
=== Liens externes ===
{{Autres projets
| wikisource = Portail:La Commune de Paris (1871) | wikisource titre = La Commune de Paris
| commons = Commune de Paris | commons titre = la Commune de Paris
| wikiquote = Commune de Paris
}}
 
{{Liens}}
* {{Lien web|url=http://classiques.uqac.ca/classiques/commune_de_paris/Journal_officiel_Commune_de_Paris/Journal_officiel_Commune_de_Paris.html|titre=Journal officiel de la Commune de Paris|site=classiques.uqac.ca|consulté le=30 juin 2016}} sur classiques.uqac.ca ([[Jean-Marie Tremblay]])