« Commune de Paris » : différence entre les versions

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| année début = {{date|18|mars|1871-}}
| année fin = {{date|28|mai|1871}}<br/>'''{{Durée|18|mars|1871|28|mai|1871}}'''
| drapeau = RedSocialist red flag.svg
| drapeau lien = [[Drapeau rouge]].
| texte fondamental =
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Le 25 mars, un jour avant les élections, le [[Comité central de la Garde nationale]] lance auprès des Parisiens [[Appel du comité central de la Garde nationale le 25 mars 1871|un appel à la vigilance et à la réflexion]] avant d’élire leurs représentants. Les élections sont organisées le 26 mars pour désigner les {{nombre|92|membres}} du Conseil de la Commune. Compte tenu des départs de Parisiens, avant et après le siège de Paris par les Prussiens, et de ceux qui suivent Thiers à Versailles, le taux d'abstention est de 52 %. L'élection d'une vingtaine de candidats « modérés », représentant les classes aisées{{Référence souhaitée}}, montre que le scrutin ne fut au moins pas totalement biaisé. Les arrondissements de l'Est et du Nord ({{18e}}, {{19e}}, {{20e}}, {{10e}}, {{11e}}), le {{12e}} et le {{13e}} dans le Sud ont voté massivement pour les candidats fédérés. Les {{1er}}, {{2e}}, {{3e}}, {{9e}} et {{16e}} ont quant à eux voté massivement pour les candidats présentés par les maires du [[parti de l'Ordre]] (environ {{nombre|40000|voix}}) et les abstentions y ont été très importantes. En réalité, 70 élus seulement siègeront, du fait de la démission rapide de modérés, de l'impossibilité d'être à Paris pour certains (par exemple [[Auguste Blanqui|Blanqui]]) et des doubles élections. Le Conseil est représentatif des classes populaires et issues de la petite [[bourgeoisie]] parisienne : 33 artisans et petits commerçants (cordonniers, relieurs, typographes, chapeliers, teinturiers, menuisiers, bronziers), 24 professions libérales ou intellectuelles (12 journalistes, 3 avocats, 3 médecins, 2 peintres, 1 pharmacien, 1 architecte, 1 ingénieur, 1 vétérinaire), et {{nombre|6|ouvriers}} (métallurgistes).
 
Toutes les tendances politiques républicaines et socialistes sont représentées, jusqu'aux [[anarchisme|anarchistes]]. Parmi la vingtaine de « [[Jacobin (1871)|jacobins]] », admirateurs de la [[Révolution de 1789]] et plutôt centralisateurs, on trouve [[Charles Delescluze]], [[Félix Pyat]], [[Charles Ferdinand Gambon]] ou [[Paschal Grousset]]. À peine plus nombreux sont les « radicaux », partisans de l'autonomie municipale et d'une république démocratique et sociale, tels [[Arthur Arnould]], [[Charles Amouroux]], [[Victor Clément]] et [[Jules Bergeret]]. On compte une dizaine de « [[Auguste BlanquiBlanquisme|blanquistes]] », adeptes de l'insurrection et avant-gardistes, comme l'avocat [[Eugène Protot]], le journaliste [[Édouard Moreau de Beauvière]], [[Jean-Baptiste Chardon (révolutionnaire)|Jean-Baptiste Chardon]], [[Émile Eudes]], [[Théophile Ferré]], [[Raoul Rigault]] ou [[Gabriel Ranvier]]. Des collectivistes, membres de l'[[Association internationale des travailleurs]], sont élus, dont [[Léo Fränkel]], [[Benoît Malon]] et [[Eugène Varlin]]. Quelques « [[Pierre-Joseph Proudhon|proudhoniens]] », partisans de réformes sociales, siègent, comme [[Pierre Denis (communard)|Pierre Denis]]. Enfin, des « indépendants » ont été élus, tels [[Jules Vallès]] et [[Gustave Courbet]]. Vingt des soixante élus du Conseil de la Commune sont des [[Franc-maçonnerie|francs-maçons]]<ref name=DictionnaireFM2>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Marc de|nom1=Jode|prénom2=Monique|nom2=Cara|prénom3=Jean-Marc|nom3=Cara|titre=Dictionnaire universel de la franc-maçonnerie|éditeur=Larousse|collection=À présent|lieu=Paris|année=2011|pages totales=719|format livre=1 vol. (719 p.-XVI p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm|passage=632|isbn=978-2-03-584840-6|issn=1957-9659|bnf=42556766z}}<br>{{Google Livres|id=zkpcVZlpxtEC|titre=Dictionnaire universel de la franc-maçonnerie|couv=1|page=632}}.</ref>.
 
Rapidement, le Conseil de la Commune se divise en « majorité » et « minorité » :
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| height="13" | Commission de la Guerre
| [[Charles Delescluze]], [[Gustave Tridon]], [[Augustin Avrial]], [[Georges Arnold]], [[Gabriel Ranvier]]
| [[Gustave Paul Cluseret|Gustave Cluseret]]
| [[Louis Rossel]] (01/05/1871), [[Alfred-Édouard Billioray]] (08/05/1871), [[Charles Delescluze]] (10/05/1871)
|- valign="bottom"
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== ''Communards'' contre ''Versaillais'' ==
[[Image:Versaillais(--)Communards.jpg|thumb|right|upright=1.1|Carte des opérations et de la prise de Paris durant la « [[Semaine sanglante]] ».]]
[[Image:Le fort d'Aubervilliers - Batterie dirigée sur Paris durant l'insurection.JPG|thumb|right|upright=1.1|Les [[Royaume de Prusse|Prussiens]] favorisèrent l'offensive contre la Commune. Ici, batterie prussienne au [[fort d'Aubervilliers]], pointée sur Paris. Cliché d'[[Alphonse Liébert]].]]
 
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[[Fichier:Paris 1871 - communards.jpg|thumb|gauche|[[Cadavres d'insurgés dans leurs cercueils|Corps de combattants de la Commune de Paris disposés dans des cercueils]] (photographie d'[[André Adolphe Eugène Disdéri|Eugène Disderi]]).]]
 
Le bilan humain de la Commune de Paris fait l'objet de débats et de controverses<ref name="FC010321">Chloé Leprince, [https://www.franceculture.fr/histoire/la-commune-de-paris-plus-grand-martyre-de-civils-deurope-idee-recue-ndeg3 La Commune de Paris, plus grand martyre de civils d'Europe ? Idée reçue n°3], ''France Culture'', {{1er}} mars 2021.</ref>. En 1876, le journaliste et polémiste [[Socialisme|socialiste]] [[Prosper-Olivier Lissagaray]], ancien [[communard]], estime de {{formatnum:17000}} à {{formatnum:20000}} le nombre des fusillés<ref>[[Prosper-Olivier Lissagaray]], ''L'histoire de la commune de 1871'', rééd. La Découverte, 526{{nb p.}} 2004 / Première publication en 1876 / seconde publication rallongée, éd Dentu, Paris, 1896, {{p.|391-394}}.{{Gallica|n=bpt6k36518g|t=L'histoire de la commune de 1871}}.</ref>{{,}}<ref name="FC010321"/>. En 1880, le journaliste et homme politique [[Camille Pelletan]], membre du [[Parti républicain, radical et radical-socialiste|Parti radical-socialiste]] situe le nombre des victimes à {{formatnum:30000}}<ref>[[Camille Pelletan]], ''La Semaine de Mai'', 1880, {{p.|396}}.</ref>{{,}}<ref name="FC010321"/>. Ce nombre ensuite abondamment repris par les différents auteurs du {{XIXe|s}} et du {{s-|XX}}<ref name="FC010321"/>. En [[2021]], l'historien [[Éric Fournier (historien)|Éric Fournier]] indique cependant que ce bilan a un double niveau de lecture, car Camille Pelletan cherche ainsi à présenter la [[Semaine sanglante]] comme plus meurtrière encore que la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]] de [[1792]]-[[1794]] et ainsi réhabiliter les débuts de la [[Première République (France)|Première République]]<ref name="FC010321"/>.
 
En [[2009]], l'historien [[Jacques Rougerie (historien)|Jacques Rougerie]] estime que probablement {{unité/2|3000|à=4000|fédérés}} sont morts au combat<ref name="Rougerie107">{{harvsp|Rougerie|2009|p=107}}.</ref>. Le nombre total des victimes de la Semaine sanglante ne peut être connu avec précision, mais il est d'« au minimum {{nb|10000}}, probablement {{nb|20000}}, davantage peut-être »<ref>{{harvsp|Rougerie|2009|p=113}}.</ref>.
 
En [[2014]], l'historien britannique [[Robert Tombs]] revoit le bilan à la baisse et évalue entre {{formatnum:5700}} et {{nombre|7400}} le nombre des morts, dont environ {{formatnum:1400}} fusillés<ref name="Tombs2014317-318">{{harvsp|id=Tombs2014|Tombs 2014|p=317-318}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=en|url=http://www.h-france.net/Salon/Salonvol3no1.pdf|titre=How bloody was la Semaine Sanglante? A revision. Robert Tombs, St John’s College, Cambridge|site=h-france.net|consulté le=30 juin 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=http://www.h-france.net/Salon/Salonvol3no2.pdf|titre=Commentaire de Quentin Deluermoz, Université Paris 13/Nord|site=h-france.net|consulté le=30 juin 2016}}.</ref>.
 
Selon l'historien [[Quentin Deluermoz]], qui cite en exemple la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]], la [[guerre de Vendée]], la [[bataille de Montréjeau]], la [[Trois Glorieuses|révolution de Juillet]] et les [[Journées de Juin]], {{Citation|la révision à la baisse}} des victimes de la Semaine sanglante {{Citation|s'inscrit en fait dans une tendance historiographique concernant les grands massacres du XIXe siècle}}<ref name="FC010321"/>.
 
En [[2021]], l'écrivaine et mathématicienne [[Michèle Audin]] conteste le bilan de [[Robert Tombs]] et estime que le nombre des communards tués se situe probablement entre {{formatnum:15000}} et {{formatnum:20000}}<ref>[[Michèle Audin]], ''La Semaine sanglante - Mai 1871. Légendes et comptes'', Libertalia, 2021</ref>.
 
En [[2021]], l'historien [[Jacques Rougerie (historien)|Jacques Rougerie]] révise son bilan. Il considère que Robert Tombs néglige les inhumations sauvages, mais que le bilan de près de {{nombre|30000}} morts donné par [[Camille Pelletan]] est {{Citation|incontestablement une estimation excessive}}<ref name="Rougerie2021-116">{{harvsp|id=Rougerie2021|Rougerie 2021|p=116}}.</ref>. Jacques Rougerie conclut qu'un bilan de {{nombre|10000}} victimes semble le plus plausible et {{Citation|reste énorme pour l'époque}}<ref name="Rougerie2021-116"/>.
 
En face, l'armée versaillaise dénombre officiellement {{nb|877 tués}}, {{nombre|6454|blessés}} et {{nb|183 disparus}} pour l'ensemble des combats livrés contre les communards<ref name="Rougerie107"/>{{,}}<ref>900 morts selon {{article|prénom1=Michaël|nom1=Bourlet|titre=L’Armée de Versailles pendant la Semaine sanglante et les combats de rues (21-28 mai 1871)|périodique=Revue historique des armées|numéro=238|année=2005|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20090710005847/http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/04histoire/articles/articles_rha/armeedeversailles.htm|consulté le=27 février 2008}}.</ref>. Selon [[Robert Tombs]], pour la période spécifique de la Semaine sanglante, le bilan est d'environ {{nb|400 soldats}} et officiers tués et {{nb|3000 blessés}}, dont {{nombre|1000}} sérieusement, soit environ {{nb|500 morts ou blessés par jour}}<ref name="Tombs2014303">{{harvsp|id=Tombs2014|Tombs 2014|p=303}}.</ref>.
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* ''Vive la Commune'', chanson du groupe [[10 rue d'la Madeleine]] (2006).
* ''Les Femmes de la Commune de Paris'', album de 17 chansons sorti chez [[EPM Musique|EPM]], de Pauline Floury et Séverin Valière (2021)
* ''La Commune refleurira'', album collectif de 21 chansons pour revisiter les grandes chansons de la Commune ainsi que des textes de [[Louise Michel]], [[Jules Vallès]], [[Arthur Rimbaud]] et [[Victor Hugo]] sorti chez Irfan et interprété par [[Les Ogres de Barback]], [[François Morel (acteur)|François Morel]], [[HK (chanteur)|HK]], [[Francesca Solleville]], [[Michèle Bernard]], [[Melissmell]], [[Christian Olivier (artiste)|Christian Olivier]], [[Mouss et Hakim]], [[Les Croquants]], [[Agnès Bihl]], Eyo’nlé, [[Thomas Pitiot]], Coko, Florent Vintrigner, Manu Théron, Audrey Peinado, Arthur Bacon, Laurent Cavalié et [[La Mal Coiffée (groupe vocal)|La Mal Coiffée]], [[Michel Bühler]], Nathalie Fortin, Damien Toumi, Ben Herbert Larue, Le Chœur du Lamparo (2021)
 
=== Filmographie ===
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La ville du [[Le Kremlin-Bicêtre|Kremlin-Bicêtre]] a, dès sa fondation, attribué des noms de communards à des rues dispersées sur le territoire communal : [[Jean Baptiste Clément]], [[Charles Delescluze]], [[Paul Lafargue]], [[Élisée Reclus]], [[Louis Rossel]]…). Elles se croisent avec nombre d'artères portant, quant à elles, le nom de protagonistes de la [[Révolution française]].
 
Paris possède une place dans le 13e arrondissement en référence à la commune de Paris, la [[place de la Commune-de-Paris (Paris)|place de la Commune-de-Paris]] et un grand nombre de communes de la banlieue parisienne possèdent une rue de la Commune-de-Paris dont [[Aubervilliers]], [[Romainville]], [[l'Île-Saint-Denis]] et [[Le Blanc-Mesnil]] en [[Seine-Saint-Denis]], [[Villejuif]], [[Villeneuve-le-Roi]], et [[Bonneuil-sur-Marne]] dans le [[Val-de-Marne]], [[Vigneux-sur-Seine]], [[Morsang-sur-Orge]] et [[Saint-Germain-lès-Corbeil]] en [[Essonne (département)|Essonne]] et [[Mitry-Mory]] en [[Seine-et-Marne]].
 
En 1923, une localité de l'[[oblast de Nijni Novgorod]] en [[RSFSR|Russie soviétique]] fut renommée [[Pamiat’ Parijskoï Kommouny]], soit littéralement « Mémoire de la Commune de Paris ».
 
[[Hô Chi Minh Ville]] (Vietnam) possède une [[Place_de_la_Commune-de-Paris_(H%C3%B4_Chi_Minh-Ville)|place de la Commune de Paris]] (Công trường Công xã Paris en vietnamien).
 
À [[Tirana]] (Albanie) un quartier de la ville s'appelle Commune de Paris (Komuna e Parisit en albanais)
 
=== Cartes ===
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== Voir aussi ==
{{Autres projets
| wikisource = Portail:La Commune de Paris (1871) | wikisource titre = La Commune de Paris
| commons = Commune de Paris | commons titre = la Commune de Paris
}}
 
=== Sources primaires ===
==== Témoignages ====
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* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=François|nom1=Furet|lien auteur1=François Furet|titre=La Révolution|sous-titre=de Turgot à Jules Ferry 1770-1880|éditeur=Hachette|collection=Histoire de France Hachette|lieu=Paris|numéro dans collection=4|année=1988|pages totales=525|format livre=525 p. : ill. en noir et en coul. ; 30 cm|isbn=2-01-009462-X|bnf=349611932}}.
* {{article | auteur=Joseph Durieux | titre=La dernière heure de Jean-Georges Veysset | périodique=Bulletin de la [[Société historique et archéologique du Périgord]] | date=1946 | tome=73 | numéro=4 | passage=161-165 | lire en ligne=https://docs.shap.fr/BSHAP/BSHAP_1946-4.pdf }} {{Commentaire|Communication sur son jugement pour traitrise reconnue et exécution sur le Pont-Neuf le 24 mai 1871}}
* [https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&rk=21459;2&query=dc.relation%20all%20%22cb32206731n%22%20sortby%20dc.title%2Fsort.ascending Georges Guillaume : ''Souvenirs d'un garde national pendant le siège de Paris et pendant la Commune par un volontaire suisse'' en 2 parties]
* [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39222m ''Histoire de la Révolution de 1870-1871'' en 2 volumes, 1877, volume 1], [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39223z volume 2]
 
=== Filmographie ===
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=== Iconographie ===
* « [https://cudl.lib.cam.ac.uk/collections/caricatures/1 Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871] », [https://www.lib.cam.ac.uk/stories/caricatures-franco-prussian-war-and-paris-commune-1870-71 Cambridge University Library]
*« [https://heidicon.ub.uni-heidelberg.de/search?p=59&ot=objekte&inp=fulltext:Collection%20caricatures%20charges%20guerre Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871] », {{Anglais|Heidelberg University Library}}
* {{Lien web|url=http://www.marxists.org/history/france/paris-commune/images/|titre=Photographies et caricatures de la Commune de Paris|site=marxists.org|consulté le=30 juin 2016}} sur le site des ''Marxists Internet Archives''
* {{Lien web|url=http://www.library.northwestern.edu/spec/siege/|titre=Photographies et caricatures du siège et de la Commune de Paris|site=library.northwestern.edu|consulté le=30 juin 2016}} sur le site de la ''Northwestern University Library''
* [http://www.calames.abes.fr/pub/lacontemporaine.aspx#details?id=Calames-20181219121234872360 Inventaires] des fonds d'affiches numérisées relatifs à la [http://www.calames.abes.fr/pub/lacontemporaine.aspx#details?id=Calames-20181219121234872227 Commune de Paris] (1871) et conservés à [[La Contemporaine (bibliothèque)|La Contemporaine]] (Nanterre).
* Collection de caricatures et de charges pour servir à l'histoire de la guerre et de la révolution de 1870-1871: [https://exhibitions.lib.cam.ac.uk/caricatures/ Exposition virtuelle] et [https://www.lib.cam.ac.uk/stories/caricatures-franco-prussian-war-and-paris-commune-1870-71 déroulé], {{Anglais|[[Cambridge University Library]]}}.
 
=== Articles connexes ===
{{Catégorie principale}}
* [[Chronologie de la Commune de Paris]]
* [[Ordre de bataille de l'armée versaillaise]]
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=== Liens externes ===
{{Autres projets
| wikisource = Portail:La Commune de Paris (1871) | wikisource titre = La Commune de Paris
| commons = Commune de Paris | commons titre = la Commune de Paris
| wikiquote = Commune de Paris
}}
 
{{Liens}}
* {{Lien web|url=http://classiques.uqac.ca/classiques/commune_de_paris/Journal_officiel_Commune_de_Paris/Journal_officiel_Commune_de_Paris.html|titre=Journal officiel de la Commune de Paris|site=classiques.uqac.ca|consulté le=30 juin 2016}} sur classiques.uqac.ca ([[Jean-Marie Tremblay]])