The van de Graaff generator in its tank. For voltage-holding, the tank was filled with pressurized extra-dry nitrogen. 2 beams emanated from 2 separate electron-guns. The left beam, for injection into the CESAR ring, was pulsed at 50 Hz, with currents of up to 1 A for 400 ns. The right beam was sent to a spectrometer line. Its pulselength was also 400 ns, but the pulse current was 12 microA, at a rate variable from 50 kHz to 1 MHz. This allowed stabilization of the top-terminal voltage to an unprecedented stability of +- 100 V, i.e. 6E-5. Although built for a nominal voltage of 2 MV, the operational voltage was limited to 1.75 MV in order to minimize voltage break-down events. CESAR was terminated at the end of 1967 and dismantled in 1968. R.Nettleton (left) and H.Burridge (right) are preparing the van de Graaff for shipment to the University of Swansea.

Le générateur van de Graaff dans son tank. Pour faire tenir la haute tension, le tank était pressurisé avec du nitrogène dehumidifié. 2 faisceaux étaient produits par 2 canons à electrons. Le faisceau gauche, pour injection dans l'anneau CESAR, était pulsé à 50 Hz, avec des courants jusqu'a 1 A durant 400 ns. Le faisceau droit était dirigé vers un spectromètre. Sa longeur d'impulsion était également de 400 ns, mais le courant était 12 microA à un taux variable entre 50 kHz et 1 MHz. Ceci permettait de stabiliser la tension avec une précision sans précédent: +- 100 V, c'est-à-dire 6E-5. Construit pour une tension nominale de 2 MV, en opération la tension était limitée à 1.75 MV pour minimiser le taux de claquage. CESAR a été arrêté fin 1967 et démonté en 1968. R.Nettleton (gauche) et H.Burridge (droite), en train de préparer le van de Graaff pour être transporté à l'Université de Swansea).